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(1894-1930)
MUSEE NATIONAL D’HISTOIRE ET D’ART
LUXEMBOURG
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GERARD KLOPP
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GERARD KLOPP
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© IMPRIMERIE GERARD KLOPP L-3378 LIVANGE
MUSÉE NATIONAL D'HISTOIRE ET D'ART
LUXEMBOURG
INICO _L LOPP
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(1894-1930)
PEINTURES, DESSINS ET GRAVURES
EXPOSITION DU 21 OCTOBRE AU 20 NOVEMBRE 1994
Couverture : Le pont de Remich, 1925.
Huile sur toile, 35 x 47 cm.
Musée national d'histoire et d'art, Luxembourg
(Abb. 21 - N. Klopp, Moselbrücke in Remich, Öl - 1925 (MNHA) - Kat. Nr. 74)
our commemorer le centenaire de la naissance
de Nico Klopp, le Musée national d'histoire et d'art est
heureux de présenter la plus grande rétrospective jamais
A
consacrée à cet excellent artiste.
Déjà en 1951, en 1969 et en 1980, le Musée a réalisé des expositions
importantes de l'oeuvre de ce peintre et graveur qui a su évoquer avec
tant de talent la Moselle et d’autres paysages de notre pays.
Nous prions Madame Rosemarie Hassanein-Klopp et
Monsieur Seifalla Hassanein, son fils, ainsi que les nombreux autres
preteurs, de bien vouloir trouver ici l’expression de notre vive
reconnaissance.
Paul Reiles
Directeur du Musée national
d'histoire et d'art
Le Musée national d'histoire et d'art exprime sa reconnaissance
à toutes les personnes dont l'aide a permis d'organiser et de réaliser
la présente exposition.
Il remercie de leurs préts :
Madame Rosemarie Hassanein-Klopp,
Monsieur Seifalla Hassanein-Klopp,
l'Administration communale de la Ville de Remich,
Madame Joseph Altwies,
Monsieur Christian Bauer,
Monsieur Francis Heldenstein,
le docteur et Madame Prosper Kayser-Gales,
Les Caves Krier Fréres à Remich,
Monsieur Robert Moes-André,
Madame Joseph Muller,
Monsieur Michel Raus
ainsi que les nombreux préteurs qui ont préféré garder l’anonymat.
Le Musée national d'histoire et d'art adresse également sa gratitude à
Monsieur Gérard Thill, directeur honoraire du Musée national d'histoire et d'art,
qui a bien voulu contribuer au catalogue.
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Commissaires de l’exposition :
Paul Reiles,
directeur du Musée national d'histoire et d'art,
Jean Luc Koltz,
conservateur de la Section des Beaux-Arts
au Musée national d'histoire et d'art.
Les commissaires remercient particuliérement Monsieur Edmond Thill, chef du Service édu-
catif au Musée national d'histoire et d'art, Monsieur Guy Gengler, assistant scientifique au
Musée national d'histoire et d'art, Monsieur Enrico Lunghi, assistant scientifique au Musée
national d'histoire et d'art, Madame Simone Habaru, restauratrice au Musée national d'histoi-
re et d'art, ainsi que Madame Viola Schoellen-Brück, Monsieur Jean Horn, Monsieur Fernand
Fischer, Monsieur Jos Duprel, Monsieur Pierre Kaiser, Monsieur Laurent Colling et Monsieur
Steve Müller.
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l'issue de la Premiére Guerre mondiale, plusieurs
peintres luxembourgeois, qui ont fait leurs études en
Allemagne, non seulement se détachent de l'académisme
L
‚ du XIX: siecle, mais entendent reagir en plus contre
l'impressionnisme. Ils sont influencés notamment par Van Gogh et par
Cézanne qu'ils viennent de découvrir.
Dans notre pays s’installe la querelle des Anciens et des Modernes
et c'est le Salon de la Sécession, créé en 1927, qui consomme la rupture
entre de jeunes artistes progressistes et les tenants traditionalistes du
Cercle artistique de Luxembourg. Les deux chefs de file de la Sécession
luxembourgeoise sont Nico Klopp, né à Kleinmacher le 18 septembre
1894, et son ami Joseph Kutter, né à Luxembourg le 12 décembre de la
méme année. Afin de célébrer le centenaire de leur naissance, le Musée
national d'histoire et d'art du Grand-Duché de Luxembourg consacre
successivement à chacun une rétrospective...
Le peintre et graveur mosellan Nico Klopp, aujourd’hui à l’hon-
neur, étudie de 1914 à 1915 à l'Ecole d'artisans à Luxembourg. En 1915,
il recoit à Cologne les conseils du professeur d'architecture Bachmann :
ils favorisent chez lui le goüt de l'ordonnance des formes et l'intérét
pris à l'architecture, dont témoignent notamment des aquarelles
d'intérieurs réalisées en 1916. Puis, pendant deux ans, de 1916 à 1918,
il est inscrit à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf. La plupart
des peintures qu'il exécute en 1917 et en 1918 présentent une touche
picturale rectangulaire qui, par moments, n'est pas sans rappeler
vaguement celle de Cross et de Signac. Plus large cependant, elle forme
des aplats et bien entendu elle est dépourvue du chromatisme
des néo-impressionnistes.
À l’époque de son séjour à Weimar où Klopp apprend la gravure
chez le professeur Walter Klemm et encore en 1920 quand le peintre
s’installe définitivement aux bords de la Moselle luxembourgeoise,
la matière picturale de ses huiles se fait plus épaisse et plus tourmentée.
La couleur plutót terne gagne peu à peu en pureté et en luminosité
pour atteindre à cette beauté qui va contribuer largement à la
renommée de Klopp.
Dans maints tableaux de 1921, de 1922 et de 1923, des influences
impressionnistes se manifestent plus vigoureusement. Ces ceuvres,
dont le coloris clair et tendre peut faire penser parfois à Sisley,
dénotent que Klopp est sensible à la lumiére typique de son pays.
Toujours, jusqu’à son décès survenu à Luxembourg le 29 décembre 1930,
notre paysagiste tient compte de l'éclairage naturel de ses motifs. Méme
dans ses gravures sur lino où les clartés l’emportent généralement
sur les noirceurs.
Comme le montre le meilleur de sa peinture, Klopp pendant sa
trop bréve carriére s'emploie à rendre des paysages, et à partir de 1928
aussi des natures mortes, par des aplats de couleurs de plus en plus
larges, que délimitent parfois durement des traits aigus empruntés à la
gravure sur lino. Ces contours représentent le dessin sous-jacent qui est
souvent rouge foncé ou bleu et qui est épargné par le coloris.
Evidemment c’est aussi la leçon de Cézanne qui conduit Klopp à ne pas
aller vers la déliquescence des formes. Mais dans beaucoup de ses
tableaux, le dessin et la couleur demeurent distincts, alors que chez
Cezanne les volumes sont construits avec des contrastes et des rapports
de tons. Là où Cézanne a claritié, Klopp simplifie.
On peut constater que 1928 est une année particuliérement impor-
tante dans l’œuvre de notre peintre. Klopp se met à produire davantage
de toiles de grandes dimensions. Il s’approche de ses motifs et, nous
l'avons déjà indiqué, il pratique la nature morte. La visite d'une rétros-
pective Van Gogh à Cologne vivifie sa palette qu'un séjour à Martigues,
dans le Midi de la France, en 1929, ensoleille comme chez l'illustre
(C
Hollandais. Cependant les chatoyantes couleurs de Klopp restent
habituellement délimitées par des contours étroits et calmes. Ignorant
les cernes épais et mouvementés d'un Vincent, elles laissent souvent
subsister ce dessin qu'elles préférent ne pas couvrir.
Il est évident que la mort prématurée de Klopp interdit à jamais de
connaitre toutes les possibilités de son talent. Humblement amoureux
des charmes de sa terre natale, qu'il a su évoquer comme personne dans
ses tableaux, ses dessins et ses gravures, ıl apparaît, surtout à ceux
qui apprécient les paysages du Grand-Duché, comme un des artistes
luxembourgeois les plus attachants.
Jean Luc Koltz
Abb. 11 - N. Klopp, Tuschzeichnung
von Berg/Mosel, 1930 (Privatbesitz) - Kat. Nr. 162.
10
Nico Klopp, ein Maler der Heimat —
zu seinem 100. Geburtstag (1894-1930):
Nico Klopp ist sicherlich einer der begabtesten Künstler, den die
Moselheimat hervorbrachte und in ihren Bann schlug, bis sie ihn leider
allzu früh ins Jenseits entließ. Wollte man jedoch sein Talent lediglich
auf seine anheimelnde Moselmalerei beschränken, würde man ihm gewiß
nicht gerecht. Das beweisen zur Genüge manche seiner überzeugendsten
Werke mit anderen, auch ausländischen Motiven.
Im vorliegenden Beitrag möchten wir allerdings das Künstler-
schicksal des Grenzländers Nico Klopp näher beleuchten.
Der Winzersohn
Rechtzeitig zur Weinlese, am 18.9.1894, erblickte der Winzersohn
Nico Klopp das Licht der Welt in Kleinmacher. Seine Eltern, Leonard
gen. Nardi Klopp und Maria Schumacher, stammten wie ihre Vorfahren
aus dem Hof Remich, meist von diesseits, auch von jenseits der Mosel?.
1 - Vorliegender Aufsatz erschien bereits in der Festschrift Paul Margue am 19.11.1993 : Luxemburg im lotharin-
gischen Raum, S. 655-683, Luxemburg 1993 ; © by Ed. Saint-Paul ISBN 2-87963-190-4 ; ... der besondere Anlaß
dieser Veröffentlichung erklärt die Erwähnung verschiedener, auf die verwandtschaftlichen Beziehungen des
Jubilars in Remich hinzielende Einzelheiten im Text und in den Fußnoten.
2 - Ein detaillierter Stammbaum der Familie Klopp, der über 4 Generationen bis zur Mitte des 18. Jh. hinau-
freicht, ist Gemeindesekretär Georges Kiessel zu verdanken, der mir übrigens manche andere wertvolle Angaben
über die Familie Klopp lieferte.
11
Sie waren begüterte Weinbauern, zu urteilen u. a. nach ihrem Besitz von
rund 3 ha «Wengerten» und dem stattlichen Wohnhaus in der
«Klappegaass»’. Giinstiges Wetter und eine zufriedenstellende
Traubenernte vorausgesetzt, konnten auch die Klopps etwa seit der
Jahrhundertwende ihren Wein zu anständigen Preisen absetzen, vor
allem bei den deutschen Sektkellereien. Leider verstarb Vater Nardi
bereits 1904, im Alter von 36 Jahren', die Mutter ein knappes Jahrzehnt
danach. Fürderhin lag die Last des Winzerbetriebs auf den Schultern der
drei Kinder Marie (* 1887), Jean-Pierre (* 1889), Nico (* 1894) sowie
des 80 jährigen Großvaters Peter Klopp. Beim Tod der Mutter verspra-
chen die Geschwister zusammenzubleiben, bis sie alle großjährig wären,
gemäß einem späteren Brief von Nico°. Aus demselben Schreiben geht
hervor, daß er von Jugend auf den Wunsch hegte, Maler zu werden,
ohne darob seine harte, «verantwortungsvolle» Winzerarbeit zu vernach-
lissigen. Ubermittelten Aussagen zufolge fôrderten die
Familienangehörigen seine Künstlerträume keineswegs ; im Gegenteil,
3 - N. Klopps Geburtshaus, «a Klappen» (Nr. 10), wurde, laut Pfarrer Schadeck (1905), i.J. 1850 von Nikolaus
K., dem Urgroßvater Nicos, erbaut und von dessen Großvater Peter K. vergrößert (4,5 a Grundfl. mit
Dependenzien, Kad. Wellenstein, S.A 427-1361). Die harmonisch gegliederte, hausteinverzierte Fassade über dem
hohen, gegen Hochwasser gefeiten Treppenaufgang dürfte dem heutigen Aussehen nach der Jahrhundertwende
angehören : vgl. Abb. 1, S. 74 in «Heimat u. Mission» 1980, 4/5.
4 - An seinen jugendlichen Ausbruch nach Paris, gelegentlich einer mit Pferd und Wagen geglückten
Weinlieferung in die Hauptstadt, erinnert seine Enkelin Rosemarie in Michel Raus, S. 23.
5 - Dieser Brief (1918 ?) an seine Schwiegermutter Ballauf — aus dem lange pietitvoll verwalteten Nachlaf N.K. -
ist ohne genauere Angaben in Marc Reckingers unveróffentlichter Dissertation über Nico Klopp (1967) zitiert,
iedoch heute, wie so viele andere, verschollen.
12
-
Besch-sur-Moselle, 1918 (cat. n° 7).
13
Abb. 3 - Letzte «Hunnfeier» der Winzerfamilie Klopp, 1915 ; vorne sitzend, mit Schirmmütze,
Nico Klopp; ganz links, stehend, Großvater Peter Klopp (Archiv F. Toussaint).
Abb. 4 - N. Klopp, Panorama der Talebene Macher-Remich vom «Meesberg» her geschaut,
mit Pflugszene im Vordergrund (S. Moes-Krier) - Kat. Nr. 16.
A
der Großvater, ein echter «Hafftéck», schlug derartige Verirrungen in
den Wind* (Abb. 5).
Großjährig, also frei von jeder Verpflichtung, wurde Nico am
18.9.1915, zur Traubenlese, welche in diesem zweiten Kriegsjahr über-
durchschnittlich gut ausfiel. «Unsere letzte Ernte, wo wır zusammen
waren, hat einen würdigen Schluß gemacht : 60 000 ] Wein war unser
Ertrag. Gott seı Dank können wir heute sorglos in die Zukunft
blicken». Ein Lichtbild der Kloppschen «Hunnfeier» von 1915 scheint
den endgültigen Schlußstrich unter diesen Lebensabschnitt zu ziehen :
Verrät Nicos modische Kleidung nicht bereits den städtischen
Studiosus ?? (Abb. 3)
Der Kunststudent
In der Tat genießt er, nach anfänglichem Besuch der Luxemburger
Handwerkerschule (Wohnsitz und Weinbergarbeit hatte er währenddes-
6 - Bezeichnenderweise gibt es vom Großvater einige der seltenen Portraits des Malers (vgl. u.a. S.W.-Woltz oder
CL 1929, 2, S. 132, auch Abb. 5).
7 - Zitat aus M. Reckinger, vgl. Fn. 5.
8 - Das Foto zeigt eine 13 köpfige Lesermannschaft samt Hund vor dem traubengeschmückten letzten
Erntewagen im Weinberg, inmitten gefüllter Eimer, Körbe und Hotten ; ganz links steht Großvater Peter, der
«Iehm» ; vorne sitzt, mit Schirmmütze und Schlips, Nico ; der andere sitzende Mann ist J.-P. Woltz, der Verlobte
seiner Schwester Marie. Alle Frauen sollen Hobscheiderinnen sein, zwei von ihnen im Dienst bei den Klopps,
die restlichen nur im «Drauwenhárscht» tátig ; die Hottentráger stammen wohl wie gewóhnlich aus dem
preußischen «Gau» ; (das Foto, Inv. 4161, sowie das Ergebnis seiner Nachforschungen wurden freundlicherweise
von Fernand Toussaint aus Hobscheid zur Verfügung gestellt).
15
sen in Macher nicht aufgegeben !), seit August 1915 bei dem Kölner
Architektur-Professor Bachmann Malunterricht’.
Auf diesem Gebiet hatte ihm der Primärunterricht in Kleinmacher
wenig gebracht, sieht man ab von gelegentlichen, meist in Begleitung des
gleichaltrigen Schulkameraden Jos. Sünnen erhaltenen Inspirationen
beim benachbarten Sonntagsmaler Pütz oder im Atelier des bekannten
Elvinger Kirchenmalers Nik. Brücher". Ein kurzer Aufenthalt an der
Lehranstalt von Carlsbourg/Bouillon, i. J. 1908-1909, hat ihn kaum
mehr als etwas Franzósisch und das Heimweh gelehrt'". Frühestens der
Unterricht seiner Lehrer an der Handwerkerschule, u. a. Antoine
Hirsch, Pierre Blanc und Eugéne Kurth, bedeutete für ihn die erste
Auseinandersetzung mit der Kunst des Zeichnens und Malens".
Früchte jener Lehrzeit sind vor allem die üblichen Perspektiv-
zeichnungen, welche die saubere Linienführung des Schülers, doch
kaum den zukünftigen Künstler verraten". Immerhin scheinen ihm
diese Pflichtübungen nicht die Lust am Malen verleidet zu haben".
9 - Bachmann war als deutscher Frontoffizier zeitweise an der Mosel einquartiert gewesen, laut J.-E. Müller, be-
stens von der Witwe N. Klopps informiert ; vgl. seinen Katalog zur Ausstellung Nico Klopp im National-
museum, 1951.
10 - Vgl. das Gruppenfoto von 1901 in M. Raus, S. 31
11 - Eine Bescheinigung für die von ihm besuchte 6e mod. mit : «conduite sans reproche» u. «application à l'étu-
de soutenue» wird N. Klopp sich erst am 3.10.1919 vom Schulleiter ausstellen lassen ; vgl. Nl. N.K.
12 - Wie für die meisten angehenden Künstler jener Zeit, z.B. den gleichaltrigen J. Kutter (von 1910-1911) oder
den jüngeren J.-P. Beckius (von 1914-1918).
13 - Eine Anzahl solcher Zeichnungen mit etwa 170 späteren akademischen Studien aus dem NI. N.K., wurden
dem MNHA von der Tochter des Malers abgetreten ; Inv. 1988 — 113).
€
Abb. 9-10 - N. Klopp, Bleistiftskizzen
von Schloß Remich und Stadtbredimus
‚aus Heft 3-1925, S.R. Hassanein-Klopp)
Kat. Nr. 163. Schloß Stadtbredimus,
auf der Rückseite des Deckels.
Nächsten Seiten :
Remich, 1923 (Kat. Nr. 41).
NV.
Nach erlangter Großjährigkeit gibt Nico Klopp seinen Wohnsitz in
Kleinmacher für Luxemburg-Stadt am 20.10.1915 auf^. Die baldige
Heirat seiner Schwester'*, die Liquidierung des mütterlichen Erbteils",
die Übernahme des Elternhauses durch den Bruder? und schließlich der
Tod des Groflvaters! scheinen die letzten Bande mit dem Heimatdorf
zu lösen.
14 - Ob wirklich sein Bruder Jemp ihm damals den Malkasten abjagen und die Adolfbrücke hinunterwerfen
wollte, wie Nicos Tochter Rosemarie zu berichten weiß ? (vgl. M. Raus, S. 23)
15 - Vgl. seine Ab- und Ummeldung vom 21.10.1915 in der Gemeinde Wellenstein.
16 - Marie K. heiratet am 17.11.1915, den Remicher Tierarzt J.-P. Woltz.
17 - Im not. Akt vom 10.1.1916 figuriert N.K. als «étudiant à Luxembourg», wie übrigens noch in der Erbfolge-
erklärung vom 28.9.1917 (étud. en beaux-arts à Lux.-Limpertsb.)
18 - J.-P.K., später Hotelier in Remich, wird das Elternhaus 1923 veräußern.
19 - Peter K. stirbt 84jährig, am 13.1.1917
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Abb. 5-8 - N. Klopp, «Mein Großvater», Linolschnitt ; Selbstbildnisse : rechts oben Bleistiftzeichnung vom 15.11.1916 ;
unten Federzeichnung - Kat. Nr. 158 - und Linolschnitt - Kat. Nr. 170 - von 1926 (S.R. Hassanein-Klopp).
20
Wie Nico Klopp den Besuch der Luxemburger Handwerkerschule
mit dem gleichzeitigen Studium in Köln vereinbart, ist unklar”. In die
Königlich-Preußische Kunstakademie zu Düsseldorf tritt er jedenfalls
erst im Herbst 1916 ein?. Dort heißt es nun nach der klassischen Manier
vor allem anatomische Zeichnungen, Aktstudien mit Bleistift, Tusche,
Kohle und Pastell nach lebendem Modell oder Gipsabgufs auszuführen.
Eine Fülle solcher, oft signierter und datierter Blätter zeigen technische
Fertigkeit und schnelle Fortschritte des kunstbeflissenen Moselaners?
(Abb. 6). Einige seiner damaligen «Charakterköpfe» muten an, als seien
sie aus Holz gehauen ; sie verraten bereits den Hang des Künstlers zum
«expressionistischen» Holzschnitt, den zu meistern er in seiner
Weimarer Zeit bestrebt ist.
Angesichts seiner Begabung für menschliche Darstellungen ist die
Frage berechtigt, warum sie ın Klopps Gemälden später so wenig Raum
einnehmen im Gegensatz z. B. zu Jos. Kutters Werk”.
20 - Nicht immatrikuliert an der Handwerkerschule, belegt N. Klopp dort als «éléve libre» wohl nur ihm zusa-
gende Kurse (Auskunft von Herrn. J. Kunnert).
21 - Laut dem von Prof. Keller am 3.7.1918 ausgestellten Zeugnis besucht N.K. ab 9.10.1916 die 4. Klasse, wo er
«mit anerkennend ernstem Fleiß gearbeitet und gute Fortschritte gemacht hat». Ein weiteres Zeugnis vom
18.3.1918 beweist, daß er sein Examen für Knochenlehre mit Auszeichnung bestand ; vgl. Nl. N.K.
22 - Vgl. Fn. 13 ; seine, die Initialen N u. K kombinierende Signatur ist hier schon üblich.
23 - Vgl. u.a. M. Raus, S. 26-28, Porträts des Großvaters (S. W.-Woltz) oder seiner Frau (S. H.-Klopp) sind
Ausnahmen im Werk des Malers ; in seiner Graphik hingegen kommen Menschengestalten häufiger vor.
21
Doch nicht nur Akademiekurse belegt N. Klopp fleißig, wenn auch
ungern (weil «leblos» und «nutzlos», wie er es später in seinen Briefen
wiederholt behauptet). Gleichzeitig pflegt er die Freilichtmalerei nach
Herzenslust. Manche ansprechende Landschaftsbilder dieser Periode,
in breitem Pinselauftrag mit Ol auf Karton gemalt, nach Eifeler und
Lüneburger Motiven, befinden sich noch heute im Besitz seiner näheren
Verwandten*.
In Düsseldorf begegnet Nico Klopp dann auch Elfriede Ballauf,
seiner zukünftigen Frau, dank seinem einstigen Schulfreund Jos. Sünnen,
ihrem Kommilitonen an der Kunstgewerbeschule^. Nach der baldigen
Heirat i. J. 1918 und der Geburt der Tochter Rosemarie i. J. 1919 zieht
das junge Ehepaar nach Weimar, etwa zu der Zeit, als Walter Gropius
dort das Bauhaus griindet®.
Wieweit Nico Klopp damals in Verbindung stand mit dem einen
oder anderen Meister der Moderne, ist ungewifl. Lionel Feininger wird
genannt ; Paul Klee, den er später sehr schätzt, wurde erst ans Bauhaus
berufen, als unser Moselaner bereits wieder ın Luxemburg weilte.
24 - U.a. in den S. W.-Woltz u. H.-Klopp ; vgl. auch M. Reckinger, passim. Ihr Format entspricht dem des hol-
zernen Patent-Malkastens (22 x 33 x 8 cm), als ausklappbare Staffelei benutzbar, den er damals in Düsseldorf er-
steht und der ihn treu bis zum Ende begleitet.
25 - J. Sünnen wird erst 1918 auf die Akademie umsiedeln, wo er bis 1926 Kurse belegt.
26 - Gemäß Zeugnis vom 3.7.1918 (vgl. Fn. 21), «verläßt er jetzt die Akademie, um einige Zeit privatim zu arbei-
ten ; seinem späteren Wiedereintritt steht nichts im Wege, da seine Begabung und Fleiß weitere Fortschritte
erhoffen lassen».
)n
Abb. 12-13 - N. Klopp, Die Schlösser
Stadtbredimus und Remich, Linolschnitte, 1925.
2?
Le pont de Remich, 1919 (cat. n° 11).
24
In Weimar wird er unter Anleitung von Prof. Walter Klemm vor
allem eine für Luxemburger Begriffe einmalige Meisterschaft im Holz-
u. Linoleumschnitt erlangen, wie Erstlingswerke mit Motiven von
Eckernförde bei Kiel (der Heimat seiner Frau) beweisen”. Er arbeitet
ebenfalls an Entwürfen von Interieurs, Bühnenbildern, Plakaten und gar
einer 5-Pf.-Sondermarke für die «Deutsche Nationalversammlung
Weimar-1919»?®. Am Ende seiner Studienzeit und in den ersten
Ehejahren wird der Rest von Klopps nicht unbeträchtlichem Erbteil, z. T.
in deutsche Währung umgesetzt, das Opfer der galoppierenden
Geldentwertung im Nachkriegsdeutschland?. Daß andererseits die
Jugendwerke eines unbekannten Malers weder im verarmten
Deutschland noch in Luxemburg zahlende Abnehmer finden, ist kaum
verwunderlich.
Der Hungerkünstler
Was bleibt N. Klopp anders übrig, als nach Luxemburg heimzukeh-
ren, ıns Moselland, das er sowieso schon zu lange vermißt, mit dem er
27 - Vgl. J.-E. Muller in : Katalog der Klopp-Ausstellung, MNHA 1969, S. 3 ; auch C. Michels.
28 - NLN.K., im MNHA, Inv. 1988 - 13
29 - Seine Tochter weiß u. a. auch von einer Fehlrechnung im Zusammenhang mit der Patentierung der von ihm
erfundenen Kuchenteigrührmaschine zu berichten, vgl. M. Raus, S. 23.
IS
sich verwachsen fühlt und das ihm die schönsten Motive zum Malen
liefert ? Im Herbst 1920 finden wir ihn, vorerst ohne Familienanhang,
in Remich, wo er bald hier, bald dort zu Miete wohnt”. Die Briefe an
seine Frau zeugen von seiner Anhänglichkeit, von «entsetzlichen»
Geldsorgen, von Überlebenskünsten (wie Kaninchen- u. Hühnerzucht),
doch vornehmlich von seiner Besessenheit in Dingen der Malerer".
Das schäbige Einkommen reicht nicht immer für die fällige Miete ;
so muß sich der Vermieter halt mit einem Bild begnügen ! Die
Anschaffung des Kochherdes wird ebenfalls durch ein Gemälde begli-
chen”, über dessen Entstehung der Maler seiner Frau mit Begeisterung
berichtet?. Ein etwas befremdendes Bild fürwahr : das duftige
Moselpanorama, vom «Meesberg» aus in die Talebene Bech-Remich ge-
schaut, wirkt durch eine urige Pflugszene mit bartigem Winzer, stammi-
ger Frau und mächtigem Ochsen im Vordergrund wie verbarrikadiert.
30 - Vorerst im netten Eckhaus der Familie Krier (Nr. 41, Bahnhofstr.), später im «Neiewee» usw.
31 - Zitate in M. Reckinger, passim, u.a. aus einem Brief vom 21.11.1920 ; Vgl. Text von Batty Weber,
Abreißkalender 6.7.1929 in Edmond Zwank «Le Cercle Artistique de Luxembourg, 1893-1993» S. 71 passım :
«Sie waren auch schon an der Mosel. Gebackene Fische, Grächen, Krebse. Sie haben auch in Remich die
Moselbrücke gesehen und davor einen äußerst unpoetischen Steinkahn oder eine äußerst unmalerische
Baggermaschine. Der Blick in den Hof Remich beeindruckte Sie angenehm, Sie haben auch vielleicht die
Aussicht vom Hangenberg bei Grevenmacher bewundert. Oder Sie sind ein Enthusiast des Oesling oder des
Hallerbachs u.s.w. Aber das ging Ihnen - um einmal eine kühne Redewendung zu gebrauchen, zu dem einen
Auge hinein und zu dem andern heraus. Wenn Sie aber schon als Kind von der eigentümlichen Melodie dieser
Mosellandschaft, sagen wir einmal, erfasst wurden, wenn Sie sie in Ihrem Innern empfangen und unter
Schmerzen wiedergeboren haben, dann sind Sie eben einer von den Gezeichneten, dann gestalten Sie Ihr Leben
aus demselben Rohstoff, aber voll stärkerer Schwingungen als die andern. Sie sind der Einzelfall, von dem wir
eingangs sprachen. ob sie auch nebenher Kaninchen züchten und Zahlenreihen in Bücher schreiben».
32 - Mit 65 x 120 cm außergewöhnlich groß, noch Niko Klopp signiert und 1920 datiert.
26
sous-bois, 1922 (cat. n° 20).
57
Maison de campagne, 1924
(cat. n° 168).
Avant-printemps au bord de l'Alzette
(Berchem), v. 1926 (cat. n° 172).
28
Auf dem ansehnlichen Rahmen ließ der Erwerber N. Moes, ein treuer
Förderer Klopps, seine Devise «Ora et Labora» in Messing eingra-
vieren* (Abb. 4). Ein gleichzeitiges, ganz ähnliches Panorama,
das, 1n Remich ausgestellt, ein «Tagesgespräch» laut Klopp darstellt, fin-
det für 500 Fr. keinen Liebhaber ! «Hätten die Leute Wein verkauft, das
Bild wäre längst fort!»”. Es landet schließlich, wie andere nachher, bei
seiner Schwester, die ihm übrigens in dieser schwierigen Zeit öfters aus
der Patsche hilft”. Ab und zu bringt der Verkauf eines Bildes oder eini-
ger Holzschnitte ihm etwas Geld, was natürlich ohne die Erträge aus
dem Hühnerstall” und dem Garten kaum zum Unterhalt seiner Familie,
an der er sehr hängt, genügt. Das Dilemma : «Familienleben oder
33 - Zitate in : Ger Maas, Nico Klopp, der Poet unter unsern Malern, Revue 1959, 6, s. 8 : «Diese ganze Woche
male ich von morgens bis abends an dem Bild für M. (= Moes). In einigen Tagen bin ich fertig. Ich habe die
ganze Landschaft herbstlich gestimmt ; die letzten Strahlen der untergehenden Sonne beleuchten die Figuren in
wunderbaren warmen Tónen. Habe nur noch den Pflüger, Pflug und Acker zu malen. Ich male mit solcher
Freude daran, mit Leib und Seele, denke immer an mein Bild, gehe immer an mein Bild, gehe kaum zum Essen
mittags, um ja nur keine Zeit zu verlieren. Die Landschaft in den feinen, braunen Tönen ist prächtig, dann erst
die Frau mit den Ochsen, ich staune...» Und ein paar Tage später : «Dann muß ich jetzt die Bäume im Garten
putzen und tünchen und den Garten graben, es ist mir jetzt wieder eine körperliche Erholung zu arbeiten, nach
dem ich dieses Bild gemalt habe. Das Bild ist bei Herber (= Geschäft in der Brückenstr., neben J.-P. Klopps
Hotel) ausgestellt und nimmt genau das ganze Fenster in der Breite ein».
34 - Das Schaufenster der Eisenhandlung Moes stand dem Maler öfters zum Ausstellen seiner Werke zur Verfügung.
35 - Zitat von N. K. in G. Maas, S. 8. Die Absatzschwierigkeiten, der Preisverfall und, nach der 21er
Jahrhunderternte, die Reblausinvasion sowie die Mifternten der 20er bieten in der Tat ein wenig kulturfreund-
liches Klima an der Mosel. Vgl. N. Kieffer in : Le Vignoble luxembourgeois, Schwebsingen 1956, S. 36.
36 - Noch heute in der bedeutenden Klopp-Sammlung Weber-Woltz.
37 - An die 100 Stück soll er zeitweise gehalten haben ; eine handschriftliche Aufstellung zeigt, daß er es auch
mit der Entenzucht in einem Apparat für künstliche Brut versucht hat ; vgl. Nl. N. K. MNHA, Inv. 1988-113-384.
Nächste Seite : Abb. 1 - N. Klopp, Die Mosel am Dreiländereck zwischen Remerschen und Schengen,
mit dem Stromberg im Hintergrund, Öl - 1924 (MNHA) - Kat. Nr. 59.
290
Künstlertum» kommt in seiner Korrespondenz Anfang der zwanziger
Jahre immer wieder zur Sprache, ohne daß sich ein Ausweg abzeichnet*.
Im Sommer 1921 arbeitet er dann beim Elvinger Kirchenmaler
Nik. Brücher mit der Aussicht auf selbständige Aufträge. Doch die dü-
stere und kalte Atmosphäre der Kirchenräume behagt dem Plein-air-
Maler wenig. So klagt er z. B. über seine einsame Arbeit in der Beforter
Kirche : «Habe ja doch mein Herz mehr an der Landschaft !»?. Oder
etwa zur gleichen Zeit : «Ich war per Rad nach Senningen. Kirche längst
vergeben. Gott sei Dank !»*. Auch mit Entwürfen zu Kirchenfenstern
(z. B. Jeanne d’Arc in Rüstung) oder weltlichen Wandmalereien (z. B.
drei nackte Tänzerinnen) befaßt er sich damals*. Größere Kartons
davon möchte er in Düsseldorf ausführen, weil dort Aktmodelle (für
weniger Geld und ohne kleinstädtischen Klatsch !) sowie Rüstungen
und Kostüme der Akademie verfügbar sind. «Notfalls kann J. Sünnen
Modell stehen !» meint er schließlich“.
38 - «Gern will ich auf Künstlerruhm verzichten, wenn ich mein inniges Familienleben wieder habe» ; schreibt er
am 21.11.1920 an seine Frau, aber auch : «Liebling, wenn man mir diese Kunst nimmt, so werde ich bald ster-
ben» ; Zitat aus M. Reckinger.
39 - Brief vom 1.7.1921, zitiert in M. Reckinger.
40 - PS. eines undatierten Briefes aus dem NI. N.K.
41 - Vgl. aquarellierte Skizzen in der S. H.-Klopp.
42 - Undatierter Brief aus dem NI. N.K.
7
2
he.
> Nate pay A
Paysage avec arbres, 1923 (cat. n° 157).
33
Bouquet de fleurs, 1923,
(Cat. n° 47). JERE
Im Herbst 1921 stellt Nico Klopp erstmals im Salon des CAL
(Cercle-Gebäude) elf Werke aus : fünf Olgemälde, vier Zeichnungen und
zwei Graphiken, und zwar neben Jos. Kutter, der schon seit 1914 mit-
macht. Seine wohl anheimelnden, aber in etwas dumpfem Grundton
gehaltenen Bilder bringen ihm kaum viel Ruhm noch Geld ein.
Und doch ist er im nächsten Salon (16.6.-10.7.1922) wieder dabei, mit
sechs Mosellandschaften in Ol und vier Holzschnitten. Sein Erfolg ist
diesmal nicht größer.
Von nun an versucht unser «Hungerkünstler» wie die meisten sei-
ner Kollegen, eine gesicherte Anstellung zu finden, die ihm nur Zeit
genug für seine Kunst lassen soll. Nach gründlicher Vorbereitung stellt
er sich 1922 dem Zeichenlehrerexamen für die Mittelschule, verliert
jedoch die Nerven während des Wettbewerbs... und steckt auf.
«Was hätte ich alles gemalt in der Zeit, wo ich da ochste bis zur
Bewußtlosigkeit ! Freier Maler will ich bleiben !» schlußfolgert er trotz
seiner mißlichen Lage®.
Überzeugt, daß er nunmehr ein «fertiger» Landschaftsmaler ist,
widersteht er u. a. Sünnens Verlockung, zu ihm nach Düsseldorf zu
kommen : was bedeutet ihm schon der «alte Schlendrian der Akademie»
oder das Großstadtleben ? Ihn inspiriert doch vor allem die
Moselheimat !
43 - Zitat aus M. Reckinger.
35
Daß der eher beschauliche Klopp auf dem besten Weg ist, ein echter
Remicher «Fuesgeck» zu werden, könnte man aus seiner Beteiligung an
der Organisation des Karnevals (11.-13.2.1923) schließen. Als «Nicolus
Klopinski» zeichnet er nicht nur verantwortlich für die Illustration der
ulkigen Sonderzeitung und des Programmheftes, sowie für das Plakat
der Kavalkade am «Fuesdensteg», sondern er mischt auch selbst ausge-
lassen mit bis zum Fastnachtsbegräbnis am Aschermittwoch“. «Echte
Moselaner lassen sich eben nicht unterkriegen !»*, 1st eın Wahlspruch,
den sich auch unser Maler zu eigen macht.
Der Gemeindeeinnehmer
Glück hat Nico Klopp dann schließlich mit seiner Bewerbung um
den am 21.1.1923 freigewordenen Posten des Remicher Gemeindeein-
nehmers. Nach mit «großer Befriedigung» abgelegter Prüfung
(wie übrigens die beiden Mitbewerber !), und bewegter Abstimmung
des achtköpfigen Gemeinderats entscheidet das Los zugunsten des
Kunstmalers am 3.4.1923*. Seine Ernennung wird allerdings abhängig
44 - Vgl. Abb. S. 38 in M. Raus.
45 - Schlußfolgerung des Beitrags von M. (= Nic. Margue) : «Die Mosel in der Geschichte» im von N. Klopp
illustrierten Proerammheft der Remicher Kavalkade 1924.
16 - Vgl. «Registre aux délibérations» der St. Remich, Sitzung des Gemeinderates vom 3.4.1923, Art. 3 ; anwe-
send Bürgermeister Mich. Altwies, die Schöffen Fr. Moes u. Fr. Schengen, Sekretär J. Gretsch usw.
26
Dragueur sur la Moselle, 1928 (cat. n? 92).
17
Exercice 102f
No. 7.441 du Joumal
du Receveur
GE EEE
Ville de Remich.
MANDAT
NACL en faveur de M emm
ea NE
suivant Part. B budget JA... . M
et suivant disposition spéciale da ……
Le collège des Bourgmestre et Echevins de la commune de REMICH mande en vertu
de l'art. 103 de la loi du 24 février 1843, au sieur N. KLOPP, receveur communal,
de payer en conformité des art. 75 et 101 de la même loi à Accor Mr Aria prod
TE .
qmm 4 an
rd
pour les causes ci-dessus désignecs.
Ainsi ordonnancé à Remich, odd dre D ss
Le bourgmestre, Won, C RE Vof étaire,
Pour acquit de la somme de GOOM Une AO -
A REMICH, le. m t GA.
9 Exercice A
Ville de Remich.
MANDAT
or — fs. en faveur de M 4e ney.
No. -#/- du budget
No. 5,793 du Journal
du Receveur
“u... coram
EE $6 seen
suivant lart..........du budget, ……
et suivant disposition spéciale du ….
Le collège des Bourgmestre et Echevins de la commune de REMICH mande en vertu
de l'art. 103 de la loi du 24 février 1843, au sieur N. KLOPP, recev al,
de payer en conformité des art. 75 et 101 de la même loi à Le- He ATR
T" of A
la somme omm um Ez2EL — — 2 3 ^
pour les causes ci-dessus désignées. Onesie
Ainsi ordonnancé @ Remick, te HALA... VENT
Le bourgmestre, L'échevin, Le secrétaire,
A Kou”
ME Hr ne A
*. * 0 .
Pour acquit de la somme de Ars... Aon Ors... tana arte Mage. hart
A REMICH, le... Po... a tanda A
"Ho
a. NS
Abb. 23-24 - Zwei Zahlungsanweisungen an den Gemeindeeinnehmer N. Klopp.
38
gemacht von der vorgeschriebenen Bürgschaftsleistung, d. h. 11 000 Fr.”,
die Klopp nur zu 60 % durch Obligationen aus altem Familienbestand
decken kann ; und die restlichen 40 % ? Sein Jahresgehalt von 3 000 Fr.“
- durch Ratsbeschlufs am 15.2.1923 festgesetzt — kann keinen Zusatz
erfahren «bis zur gesetzlichen Regelung der Gehälter der Gemeinde-
beamten»^, Sogar die übliche Teuerungszulage wird ihm (trotz
wohlwollendem Bescheid des Distriktskommissars !) verweigert”;
auch sein Gesuch zwecks Heizungsentschädigung für seine Amtsstube
(zu Hause !) wird abgelehnt”. Sein Amt übt N. Klopp gewissenhaft aus,
wie noch Zeugen zu berichten wissen und wie es vor allem aus dem
Remicher «Livre des comptes du receveur» von 1923-1930 hervorgeht.
Verbuchungen aller möglichen Einnahmen (die Hundetaxen
einbegriffen”) und Ausgaben, in sauberer Handschrift eingetragen,
beweisen das. Da gibt es auch eine Menge auf seinen Namen vorge-
druckte Zahlungsmandate, welche z. B. die 500 Fr. Jahresentschädigung
47 - Errechnet nach einem Schlüssel aus der Summe der gewöhnlichen Einnahmen der Stadt (ungef. 2000 Einw.)
während der letzten 5 Jahre : (1918-1922) = 794 755,72 Fr., Jahresdurchschnitt : 159 000 Fr. (1993 :
147 414 000 Fr. bei ungef. 2 500 Einw. !)
48 - Gleich dem des Wegewärters ; der Sekretär verdiente 5.000 Fr.
49 - 1930, also nach der erfolgten Revision wird Klopp ein Jahresgehalt von 14 479,19 Fr. beziehen, vgl. Abb. 25.
50 - Ratssitzung vom 22.8.1923.
51 - Vgl. sein Gesuch vom 10.11.1923.
52 - In Remich gab es damals etwa 100, à 35 Fr. besteuerbare Hunde.
230
EXERCICE 193/ .
No. du budget: A
Section de =...
COMMUNE DE REMICH.
MANDAT
TRAITEMENT.
a) traitement de base: Jt
) ‘ Oe MA d aii.)
b) traitement au nom
indice de Joo 7304)
t) montant d'une tranche
mensuelle Th
—_gê
En vertu du present mandat, le sieur Nicolas Klopp, receveur communal de la commune de Remich payer
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à M ronson. aan Aa. Dietmar re mena. lt
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(indice 700)
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Total frs... |1U4 H "ii
.e présent mandat, düment quittancé, sera alloué en dépenses au Receveur communal.
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Fait à Remich, le T rft te 1937 . 1 ve D
Le Collége des Bourgmestre et Échevins de la commune de reat to
Le Bourgmestre.
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es rada.
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2,
Abb. 25 - Die monatlichen Bezüge des Gemeindeeinnehmers N. Klopp in seinem letzten Lebensjahr ;
man bemerke die (nachträgliche) Eintragung und Unterschrift seiner Ehefrau
und Nachfolgerin für Dezember 1930.
40
des Bürgermeisters oder eine Anweisung von 0,50 Fr. des
Wohltätigkeitsbüros (dessen Einnehmer Klopp ebenfalls für 200 Fr.
pro Jahr ist) betreffen (Abb. 23-24). Größere Einnahmen wie die der
Veräußerung des alten Schlosses i. J. 1928%, werden erst nach dem ober-
behördlichen Hürdenlauf, also nach Klopps Tod, zu Buche schlagen.
Er erlebt auch z. B. nicht mehr die Begleichung einer Wirtsrechnung
von 674 Fr. an die Gemeindekasse gelegentlich des großherzoglichen
Geburtstages von 1928, mangels einer Sondergenehmigung durch die
«hochlóbliche Oberbehörde».
Mag auch dieses prosaische Amt unsern Künstler wenig begeistern
(die «Befreiung» davon wird in seiner Korrespondenz öfters angespro-
chen®), er hilt durch. Man darf annehmen, daß ihm neben der
Amtsausführung, die sich teils zu Fuß oder per Fahrrad, teils auf der
ın seiner Privatwohnung befindlichen Schreibstube abspielt, ein gewisser
Spielraum bleibt, den er für sein Hauptanliegen, die Malerei, nutzen
kann”
Immerhin scheint Klopp, dank seinem geregelten, wenn auch
53 - Das von N. Klopp öfters dargestellte Schloß (vgl. Abb. 9 u. 13 sowie CL 1932, 2, S. 207 oder Lux. Heimat-
Kalender 1927, S. 30) wurde damals zwecks Beseitigung des Engpasses in der unteren Enzgasse abgerissen.
54 - Z.B. in seinem Brief zum Jahresende 1925, an seinen Antwerpener Malerfreund Félix de Rooy, der ihm die
baldige Unabhängigkeit dank seinem Künstlererfolg wünscht ; Nachlaß N. Klopp.
55 - Tochter Rosemarie spricht gar von einer «Halbtagsbeschäftigung» in einem Brief vom 1.2.1993.
41
Moulin à Klemskerke, 1927
(cat. n? 87).
17
r
bescheidenen Einkommen, von 1923 an mit größerer Selbstsicherheit
an seine eigentliche Lebensaufgabe, die Kunst, heranzugehen.
AN,
i,
Paysage, 1919
(cat. n° 147).
Der Maler und sein Publikum
Am Salon des CAL ist er im Juli jenes Jahres mit siebzehn Werken,
davon elf Ölgemälden, beteiligt. Er ist nicht wenig stolz, sein «Moseltal
bei Remich» dem Luxemburger Staat zu verkaufen'*. Ob dieser Erfolg
ihn wohl aufmuntert, seine Kampagne gegen hausierende deutsche
«Kitschhändler» über den CAL-Präsidenten bis zum Generaldirektor
des Innern und der Erziehung vorzubringen, mit der Bitte um
Abhilfe" ? Im Herbst darauf zeigt er, in Gesellschaft von J. Sünnen,
1A
Werke in der Salle Poirel in Nancy*. Und zur Jahreswende organisiert
Klopp gar mit J. Sünnen und N. Brücher - also «drei Maler aus dem
Moselgau» — eine Ausstellung im Luxemburger Athenäum, wo er selbst
mit fünfzig «interessanten» Landschaften aus der Moselheimat sowie
von Nord- und Ostsee auftritt. Seine in Linoldruck hergestellten Plakate
sind bereits an größere Gemeindeverwaltungen verschickt mit der Bitte
«gut sichtbar aufhängen» und der Unterschrift «Nico Klopp, artiste
peintre et receveur communal, Remich» ; schon hat er um eine «Kritik»
in der Obermosel-Zeitung gebeten ! Da bringt ihn der Direktor des
Athenäums durch die Verschiebung der Ausstellungseröffnung auf
Heiligabend schier um den erwünschten Erfolg... und aus den Angeln”.
Bereits im Februar 1924 produziert sich Klopp in der «Maison des
LN
Invalides» zu Antwerpen mit etwa zwei Dutzend Ölgemälden
(Leitmotive : Mosel und Brügge) sowie einer Reihe von Graphiken
(u. a. St.-Nikolaus-Pforte u. St.Sebastian). Vor Ort kümmert sich ein
56 - Der Preis des heute leider verschollenen Bildes (35,5 x 80,5) ist unbekannt. Der Präsident des CAL, P. Blanc,
verkauft eins für 900 Fr., Vizepräsident A. Thyes eins für 600 u. Jury-Mitglied J. Schaack eines für 400 Fr. ; den
Salon-Katalog kann man übrigens 1923 für 1,5 Fr. erstehen !
57 - Vgl. Brief 1m NI. N.K. v. 29.8.1923 : ein hoher Zoll resp. Importverbot werden gefordert.
58 - Die Pariser «Revue du Vrai et du Beau» bewertet Klopps Beitrag in dieser Ausstellung der «Société Lorraine
des Amis des Arts» günstig.
59 - Vgl. Brief vom 17.12.1923 im NI. N.K.
60 - Im Briefwechsel der beiden Freunde (Dez. 1923-März 1924) erfahren wir viele Einzelheiten über den
Bahntransport der Exponate, die Einladungen (für 37,5 Fr.), die Sachbewachung (id.), die Reaktion der Besucher
(von den 100 geladenen Luxemburgern der «Colonie» zeigen sich wenige !) und der Käufer.
45
befreundeter Sonntagsmaler, Félix de Rooy, um die Organisation“.
Er schlägt Klopp Minimal- und Maximalpreise vor (125-350 Fr. für
Ölbilder ; 30-35 Fr. für Holzschnitte). Immerhin sind am dritten Tag
Exponate für über 1 000 Fr. verkauft ! «Vallée de la Moselle au prin-
temps» (60 x 95), für 300-350 Fr. angeboten, hat keinen Antwerpener
Liebhaber zum Kauf verlockt ; so begegnet man dem Bild wieder unter
der Katalognummer 78 des CAL-Salons im Juli 1924. Auf einer hand-
geschriebenen Werkliste von Klopp, die siebzehn Ölgemälde mit ihren
nach Dimensionen gestaffelten Preisen (150-600 Fr.) anführt, ist die eben
erwähnte «Vallee» zu 600 Fr. feil. Für Nr. 79, «La Moselle à Schengen»
(55 x 85 inkl. Rahmen) verlangt Klopp 500 Fr. ; diese in Komposition
und Farbenharmonie sehr ansprechende Frühlingsansicht der
Dreiländerecke von 1924 wurde vom Staat erworben und gehört somit
zum ältesten Kunstbestand unseres Nationalmuseums“ (Abb. 1).
Ob Klopp Liebhaber für seine vier zwei- und dreifarbige Linolschnitte
(à 40-50 Fr.), oder zehn Holzschnitte (à 30 Fr.) im Salon findet, ist
ungewifs. Immerhin ziert eine Vignette von ihm den Katalogdeckel und
seine «Weiden am Bach» die Seite 11. Für die Tombola des CAL sind
61 - Inv. MNHA 1941 - 100 - 442.
62 - Die von einer Sonderkommission angekauften Tombola-Kunstwerke konnten durch ein Los von den zah-
lenden Mitgliedern des CAL gewonnen werden ; Kutter hatte z. B. 1924 eine Zeichnung in der Tombola zur
Verlosung.
16
gleich sechs seiner Produkte ausgewählt worden“ ! Die Tatsache, daß
der aufstrebende Moselaner als «membre adj. pour les fonctions du
Jury» fungiert und nebst Präsident P. Blanc die grofite Anzahl von
Exponaten zeigen dart, bringt ihm — außer manchem Neider — natürlich
Ansehen und neue Aufträge ein. Sein Ruf als Illustrator von
Zeitschriften (z. B. der Cahiers Luxembourgeois seit 1924) von
Zeitungen (z. B. die Obermosel-Zeitung samt Beilagen wie die «Heimat
ın Wort und Bild» oder Zulagen wie der «Heimat-Kalender»), von
Büchern (z. B. «Auf der Wasserscheide» von J. Kintzelé, 1924) wird bis
Dans le port (Eckernförde), v. 1928 (cat. n° 179).
J -
hl
L
Nature morte aux poires et aux pommes, 1928 (cat. n° 97).
AQ
zu seinem Tod stetig wachsen, ihn auch sehr beanspruchen®
(u. a. Abb. 12-13).
1925 nimmt Klopp mit 25 Werken (17 Ölgemälden) am Salon teil
(vgl. z. B. Abb. 21). Wieder sind Entwurf und Bebilderung des Katalogs
sowie das Plakat von ihm ; wieder ist er neben seinem Freund J. Kutter
beigeordnetes Jurymitglied. Kurz vor der Vernissage richtet N. Klopp
im Namen der jungen Künstler einen Appell an Dr. R.-M. Staud, um
«Remedur zu schaffen» gegen die unsachgemäße, anonyme Kritik,
welche ihnen besonders im Luxemburger Wort zuteil wird“. Mißfallen
erregt bei ihm auch das Hervorstreichen von Künstlern, die offizielle
Unterstützung für Auslandsaufenthalte zu genießen scheinen®. Gar
kàmpferisch gibt sich Klopp nachher gegenüber dem LW-Direktor,
welcher sich in keine Polemik zu diesem Thema einlassen mochte®.
Trotz seines Einsatzes, der ihm einen gewissen Erfolg beschert,
fühlt sich unser Moselaner verkannt und eingeengt. Am liebsten würde
er wie Freund J. Noerdinger sein Glück in den USA suchen oder
63 - Allein in der Abhandlung von C. Michels sind an die 500 veröffentlichte Graphiken von N.K. zusammenge-
tragen worden.
64 - Brief v. 23.6.1925 aus dem NI. N.K.
65 - Visiert ist vornehmlich J.-P. Beckius’ Studienaufenthalt in Paris, wie aus einem späteren Brief hervorgeht.
66 - Brief vom 10.7.1925 im NI. N.K.
40
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L
AD RETE
Abb. 16-20 - N. Klopp, Linolschnitte : Weintransport ; Jahrhundertwein 1921 ;
St. Nikolaus-Pforte zum Remicher Karneval ; Prost Neuiahr 1930: Tod und Schnitter.
50
J. Sünnens Lockrufen nach Düsseldorf folgen”. Doch schließlich bleibt
er in seiner für sein Schaffen so notwendigen Heimat, die er immer nur
für kurze Abstecher ins In- und Ausland verläßt.
Zur Jahreswende 1925-1926 teilt er seinem Antwerpener Freund
Felix mit, er habe nunmehr Aufträge für Monate, auch nähre er die
Hoffnung, doch eines Tages ausschließlich von seiner Kunst zu leben“.
In der Tat häufen sich zu dieser Zeit in seiner Korrespondenz mit
Druckern, Verlegern und Autoren die Anfragen, Angebote oder
Bestellungen für mannigfache Illustrationen. So z. B. wünscht Direktor
Faber von der OMZ seine Mitarbeit in der Beilage «Die Heimat in Wort
und Bild»”. Ob es sich nun um phantasievolle Bildchen zu
Trinksprüchen oder zur Weinchronik «Rhein und Mosel», um eine
spaßige Vignette für den 21er oder für Briefpapier, um Frontispize oder
Exlibris dreht, ob es um malerische Motive in Gutland oder Ösling geht,
Nico Klopp erledigt alles prompt” (Abb. 16-20). Manche dieser
Aufträge zwingen ihn, per Bahn oder Fahrrad umherzureisen, sind also
zeitraubend und ermüdend. Oft können die Skizzen erst in den späten
67 - Vgl. die humorvollen, «Don José» unterzeichneten Briefe von Jos. Sünnen, der sich in Düsseldorf wohl
fühlt, seine «Schinken» (sic !) dort absetzt usw. Nl. N.K. 7.1. u. 11.5.1926.
68 - Vgl. Félix! Antwort im Nl. N.K. am 10.1.1926.
69 - In den 18 Nummern von Mai 1925-April 1928 erscheinen viele qualitätsvolle Abbildungen von N.K.
70 - Eine Anfrage für Briefbogen-Vignetten vom «Hollericher Gewerbeverein» (2.3.1926) beantwortet er z.B.
postwendend : Pro Entwurf verlangt er 75 Fr., plus 25 Fr. für das Klischee.
51
Abendstunden bei Petroleumlicht in Bildstöcke umgesetzt werden,
deren Qualität natürlich nicht immer gleichwertig ausfällt” ! Einen star-
ken Eindruck hat auf jeden Fall die Persönlichkeit ihres geschätzten
[llustrators bei vielen Autoren hinterlassen : N. Ries, N. Hein, B. Weber,
P. Noesen unter anderen bekunden das öfters, auch noch lange nach
seinem Tod”.
Doch wie einbringlich waren diese Arbeiten schließlich ? darf man
sich fragen. Klopps Forderungen für ein angepaßtes Entgelt werden bald
heraufgeschraubt, spätestens nach seiner Enttäuschung über die bitter
empfundene Kritik an seinem Beitrag zum Salon 1926.
In dieser Jubiläumsausstellung des CAL” zeigt N. Klopp neben
einer Mehrzahl von Moselansichten auch ein Bild mit Tulpen, eine Reihe
von Linolschnitten, Buchillustrationen, «Reklamezeichnungen» sowie
den Entwurf zu einem Jeanne-d’Arc-Glasfenster.
71 - Leuchtgas gab es nicht in allen Wohnungen und der Anschluß an das elektrische Netz wird in Remich erst
Ende der 20er Jahre erfolgen ; vgl. dazu den langwierigen Prozeß zwischen Gemeinde und Gaswerk, im Spiegel
der Deliberationsregister.
72 - B. Weber in LZ 4.4.1931 ; N. Ries in CL, 1931, 3 ; P. Noesen in LJ 23.2.1951 ; N. Hein in LJ 8.2.1951 ; vgl.
auch C. Hurys Bibliographie sowie mehrere Auszüge namhafter Autoren in : M. Raus S. 151-154 u. passim.
73 - Mit zwei Jahren Verspátung wird der 30. Salon des 1893 gegründeten CAL gefeiert.
74 - De Ridders Artikel (u.a. in der LZ v. 28.6.26, im LW 28.6.26 und in L’Independance Lux. 30.6/1.7.1926),
wirbelt viel Staub auf ; siehe dazu J.-E. Muller, Kutter, 1981, S. 16-18 ; M.P. Mousel-Hess, S. 83 ; Edm. Zwank,
s. 66-67 o.c. usw.
75 - Brief vom 10.7.26 Nl. N.K.
57
Bekanntlich führt die gutgemeinte Einladung ausländischer
«Avantgardisten» (wie Vlaminck oder A. Lhote) sowie des belgischen
Kunstkritikers A. de Ridder zu einer Auseinandersetzung zwischen
«Jungen und Alten», dann zum Bruch, d. h. zur «Sezession»".
Empfindlich getroffen fühlt sich unser Maler durch das r.s. gezeich-
nete «Feuilleton» im LW am 6.1.1926. Nachdem der Autor die ver-
gleichsweise hohe Zahl der Kloppschen Exponate (wie die von
P. Blanc !) beanstandet hat, schreibt er : «Auch Nico Klopp wäre eine
strengere Selbstkritik angeraten. Sein künstlerischer Nerv scheint nicht
gerade stark zu sein. Seine Palette kennt keine kräftige Farbe. Seine
Linienführung verläuft in schematischer Einförmigkeit. Unsere einhei-
mische Landschaft zeigt doch noch andere Herrlichkeiten auf als hohle
Krüppelweiden und besendürre Pappeln, die erbärmlich an schmalen
Rinnsalen frieren. Im Linolschnitt und als Buchzeichen mag das ja
wirken ; die richtige Malerei verlangt es anders».
Kutter, die einzige einheimische Entdeckung de Ridders, kommt
übrigens kaum besser weg bei r.s., der sich distanziert von den
Ausführungen «dieses feurigen Bahnbrechers der Moderne» (gemeint ist
de Ridder).
Klopp reagiert gereizt, wie aus seinem Briefwechsel hervorgeht.
Sogar sein treuer Auftraggeber Paul Faber von der OMZ bekommt dies
indirekt zu spüren”. Nach Ankündigung einer 25 % - Honorarerhöhung
53
Remich sous la neige, 1929
(cat. n° 99).
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Saint Sebastien, 1923
(cat. n° 167).
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Calvaire, 1923
(cat. n° 166).
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E
für seine Bildstöcke, Handabzüge und Reisekosten” rät er Faber, einen
anderen Illustrator zu suchen : «... weil mir viel zuviel Zeit mit all diesen
Reisereien usw. verloren geht... es ist notwendig, daß ich mich erneuere
für meine Malerei u. nicht alle Kraft an die Graphik verwende... Ich
hoffe, daß Hr. Welter Nicolas (Klopp vermutet, derselbe verstecke sich
hinter den Endbuchstaben r. s. des *ganz gemeinen Kritikers" des LW)
nicht als Mitarbeiter in der kommenden (Heimat)-Nummer figuriert».
Fürderhin möchte er allen Publikationen fernbleiben und über seine
Freizeit verfügen. N. Brücher, der dem jungen Freund wohlmeinend
einen Auftrag verschaffen wollte”, erfährt von dessen Groll und ver-
sucht ihn über die «dumme» und «gemeine» Rezension des
«Schulmeisters» r.s. hinwegzutrósten mit der lobreichen Beurteilung, die
Klopp kurz vorher in einem Artikel von R.-M. Staud genossen hat.
Kunstmaler J. Schaack schlägt dem Betroffenen kurz und bündig vor :
«Flôte drauf, alles Sauerei !»? und làdt ihn zu einer Diskussionsrunde u.
a. mit J. Kutter ein ; in ihr wird die «Sezession» aus der Taufe gehoben
werden”
76 - Bis dato war die Reiseentschädigung inkl. Klischees und Handabzügen 275 Fr. ; für die «Heimat» vom
13.8.27 wird N.K. 565 Fr. verlangen (Reisekosten, 11 Klischees und 3 Serien von Handabzügen inbegriffen).
77 - Z. B. die Illustrierung des weit verbreiteten St.-Franziskus-Kalenders, vgl. Brüchers Briefe v. 11.7.26 u.
14.7.26, Nl. N.K.
78 - Am 15.26, NI. N.K. ; vgl. den Abdruck in M. Raus, S. 61.
79 - Nach dem Muster der «Berliner» oder der «Neuen Sezession in München», wo übrigens Kutter durchaus
kein Unbekannter ist.
RT
Sein belgischer Freund Felix findet, Klopps Ärger würde ja eigentlich
aufgewogen durch das gute Verkaufsergebnis im Salon? !
Hubert Clement vom TB, der Klischees zur Reproduktion im
«Volksbildungskalender» ausborgen möchte, kommt beim «kleinen
Mann» Nico schlecht an mit seinem : «es soll billig sein». «Das ist keine
Aufmunterung für den Schaffenden !» kontert dieser, indem er dem
Direktor genau vorrechnet, was bei einer 5 000-Auflage, à 30 Fr.
Leihgebühr für zehn Druckstöcke, ein Exemplar ausmacht, nämlich
0,06 Fr. : «ganz gewiß ein billiger Schmuck !»*. Als Ausdruck seines
gefestigten Selbstbewußtseins mögen die zwei einzigen bekannten
Autoporträts gelten, die im Krisenjahr 1926 entstehen“ (Abb. 7-8).
Noch ein Jahr spáter hat sich Klopps Groll — der stets neue
Nahrung findet - nicht gelegt. Als er nàmlich Jos. Hurt seine
Honoraransprüche für die Bebilderung dessen Buches «Auf den Bergen
die Burgen» mitteilt, macht er die Lieferung der Klischees davon abhän-
gig, dafs man ihm den Namen des anonymen «Kritikus» in Jonghémecht
verrat®
80 - Brief v. 24.7.26, Nl. N.K.
81 - Im Brief v. 4.9.26 NI. N.K., erfährt man weitere Preisforderungen Klopps : 20 bis 60 Fr. Leihgebühr pro
Druckunterlage, je nach : schon veróffentlicht oder nicht ; mit oder ohne Klischee ; ein- oder mehrfarbig !
82 - Vgl. damit die früheste erhaltene Studie von 1916, Abb. 6.
83 - J. Hurt war ein enger Mitarbeiter des Schriftleiters V. Neuens ! Der Brief v. 10.8.27, Nl. N. K., endet so :
«Ich werde jedenfalls nicht ruhen, bis ich den Autor kenne und ich hoffe, dafi er dann bald Kritikus genug
gespielt hat !» Jener, nach einer eher positiven Einschátzung, hatte geschlufifolgert : «aber eine Persönlichkeit
wagt sich kaum heraus», in Jonghémecht 1927, 8. S.181-182.
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Barques reposantes (Martigues), v. 1929
(cat. n? 182).
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Abb. 14-15 - N. Klopp, Brügge und Martigues
Kat. Nr. 181, Linolschnitte, nach 1929.
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Martigues, le Miroir-des-Oiseaux, 1929 (cat. n? 109)
61
Der Vorkämpfer der Sezession
Diese Äußerungen seiner Empfindsamkeit erklären vielleicht, wieso
unser vermeintlich stiller und zurückhaltender Klopp, der weder im
Leben noch in der Kunst ein Revoluzzer war, sich berufen fühlt,
federführender Sekretär der neugeborenen «Sezession» zu werden.
Die erste gemeinsame Kundgebung der neunköpfigen «Luxemburger
Moderne» findet vom 14.-31.5.1927 1m Stadthaus am Knuedler statt**.
Plakate von N. Klopp, Einladungen und Presseartikel — jedoch kein
lautstarkes Manifest — sorgen für den erwarteten Publikumserfolg.
Heftige Reaktionen, aber auch positive Bewertungen lassen nicht auf
sich warten. Unter Klopps 15 Exponaten fallen einige moselländische,
auch flandrische? Landschaften durch kühnere Ausschnitte sowie helle-
re, großzügige Farbgebung auf. Die Preise seiner zehn Ölgemälde
(450-1600 Fr.) scheinen nicht abzuschrecken, denn acht davon werden
verkauft**, zwei davon an einen Antwerpener Kunstfreund”. Auch ein
Linolschnitt (100 Fr.) und ein Holzschnitt (75 Fr.) finden Abnehmer.
84 - Was die Sezessionisten C. Cito, N. Klopp, J. Kutter, J. Michels, H. Rabinger, J. Schaack, J. Sünnen, J.P.
Thiry u. A. Tremont verbindet, ist außer dem mehr oder weniger jugendlichen Drang nach Erneuerung der
Luxemburger Kunstszene doch wenig Avantgardistisches. Dazu : CL 1928, 6, L’Art des Jeunes ; J.-E. Muller,
Kutter 1981, S. 64 ; M.-P. Mousel, S. 83 u. J.L. Koltz, 150 Ans d'Art luxembourgeois, 1989, S. 65.
85 - Ausbeute einer vorjährigen Ferienreise nach Brügge, Nieuport, Lissenweghe, Clemskerke usw. (Abb. 14).
86 - Laut Klopps Eintragungen ın seinem Katalog (Kopien der B.N.). Kutter setzt von 16 Exponaten
(800-10 000 Fr) nur zwei zu 1 000 Fr. ab.
87 - Nämlich an G. Victor, einen Bekannten von Felix de Rooy ; die zwei Werke «Brügge» (25 x 30) u.
«Clemskerke» (22 x 28) tauchen in der Retrospektive Klopp, MNHA 1951 wieder auf unter Nr. 33 und 34 des
Katalogs.
62
Falls unser Moselaner sein persönliches Ergebnis mit dem der Kollegen,
z. B. Kutters, vergleicht, müßte er eigentlich zufrieden sein und sich von
unsachlichen Rezensenten nicht mehr beeindrucken lassen. Genaueres
über seine damaligen Empfindungen ist uns leider nicht überliefert wor-
den*.. Ist er enttäuscht, daß sein durch flächigen Aufbau und eine früh-
lingsfrische Palette wohl originellstes Bild, die «Moselbrücke in Remich»
(1927) keinen Käufer findet, trotz günstigem Preis (850 Fr.) für ein
solches Format (49 x 62)” ? Immerhin arbeitet er unbeirrt in dieser
Richtung weiter. So schafft er ın den folgenden Monaten größere
Formate, gewagte Kompositionen mit leuchtenden, umränderten
Farbflächen, auf denen sich oft dunkle Massen abheben. Und immer
wieder ist es die Mosel, die ihm die alten Motive ın neuen Gewändern
liefert : Flußschleifen mit Krippen und Treidelpfaden ; Brücken, Bagger
und Nachen ; Rebhänge, Gassen und Hauswinkel. Erstmals reizen den
Maler auch Blumen und Stilleben. Ein Meisterwerk : «Birnen und
Apfel»? erinnert an Cézanne, mit dem er sich damals auseinandersetzt,
wie übrigens mit van Gogh”. Ob der architektonische Aufbau mancher
88 - Eine beinahe dreijährige Lücke in der noch erhaltenen Korrespondenz Klopps zwingt uns, für seinen letzten
Lebensabschnitt vor allem auf veröffentlichte, oft undatierte Exzerpte seiner Briefe zurückzugreifen.
89 - Heute im MNHA Inv. 1941-100-176 ; Nr. 9 im Sez.-Katalog von 1927 ; Nr. 38 im Katalog von 1951 ; vgl.
Farbtafel in M. Raus S. 67.
90 - (55 x 60), von 1928, MNHA Inv. 1951, 4 ; Farbt. 221 in : «Tresors du MNHA», 1989
91 - Siehe J.-E. Mullers Einleitung im Katalog v. 1951 : 1928 besucht N. Klopp eine Van-Gogh-Ausstellung in
Köln.
62
Nature morte à l'oiseau mort, 1919
(cat. n? 151),
64
damaliger Bilder wohl auch auf Erinnerungen an seinen Kölner Lehrer
Bachmann zurückgeht ? Jedenfalls ist 1928 fruchtbar für unseren Maler !
Allein 19 qualititvolle Olgemilde aus jenem Jahr wurden fiir die
Retrospektive von 1951 im Nationalmuseum ausgewählt”.
Beim Sezessions-Salon, im Oktober 1928, ist Klopp wieder die trei-
bende Kraft ; sein Beitrag ist wohl dementsprechend bedeutsam ; auch
ein gewisser Erfolg bleibt nicht aus?. Dieser Ausstellung war bereits im
Sommer eine Sondernummer der CL, «L'Art des Jeunes», vorausgegan-
gen ! Mit sachlicher Sympathie hatten u. a. N. Ries, E. Schneider,
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P. Henkes die «Luxemburger Moderne» und ihre Anhänger dargestellt.
Auch N. Klopp wird in dem einfühlsamen Porträt, das J. Kolbach von
ihm skizziert, eine Aufmunterung zur steten Erneuerung gefunden
haben*.
Im frostklirrenden Winter Anfang 1929 malt Klopp unverdrossen
weiter. Einige seiner stimmungsvollsten Werke kommen zustande.
«Remich im Schnee» (80 x 89), ein kältestarrendes, blauschattiges, aber
durchsonntes Bild, ist von seinem neuen Atelier aus gemalt, zwischen
92 - Der aufschlußreiche Katalog mit einer Einführung von J.-E. Muller umfaßt insgesamt 87 Ölgemälde, 25
Aquarelle und Zeichnungen sowie zahlreiche Graphiken N. Klopps.
93 - Leider haben wir den Katalog von 1928 nirgends auftreiben können.
94 - CL 1928, 6 S. 491-498 ; N. Ries, Schriftleiter der CL, war ebenfalls Prásident des Sezessions-Komitees !
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Abb. 2 - N. Klopp, Greiveldinger Moselschleife
mit Stradtbredimus-Palzem und dem Sinzer Wald
im Hintergrund, Öl - 1930 (MNHA) - Kat. Nr. 127.
67
Kirche und «Jangelisgare»” (Abb. 22). Unser Freilichtmaler schreckt
nicht davor zurück, seine Staffelei am eisigen, schneebedeckten
Moselufer aufzustellen, wie es der festgefrorene Bagger bei der einsa-
men, «Remicher Brücke im Winter» bezeugt”. Zum selben Zeitpunkt
entsteht eine Reihe von ansprechenden Stilleben und Blumenbildern.
Mehrere dieser bemerkenswerten Atelierarbeiten werden die neu an
Mosel und Ostsee” geschaffenen Landschaften zum Sezessions-Salon ın
der ersten Julihälfte 1929 begleiten. Die diskrete Propaganda für dieses
Ereignis verfehlt ihre Wirkung nicht. Zur Eröffnung erscheinen
Staatsminister Bech und Hofmarschall d’Huart, gefolgt von 800 zah-
lenden Besuchern (diese können übrigens außer Kunstwerken auch
Grammophonmusik genießen !) Sieben von Klopps Olgemälden
(à 750 bis 3 000 Fr.) sowie ein Holzschnitt (100 Fr.) werden verkauft :
insgesamt für 6 100 Fr. ! Als Sekretär der Sezession führt er Buch über
diesen bescheidenen Kunsthandel ; dadurch sind uns sogar Namen von
Ankäufern überliefert®.
95 - Wie im Sez.-Katalog 1929, Nr. 23 vermerkt (mit Preis : 3 000 Fr.) ; ebenda hatten die Klopps vor kurzem ein
bescheidenes Eigenheim im 1. Stock bezogen, über den Garagen von Bruder J.-P. Im MNHA, als Leihgabe von
Rosemarie H.-Klopp ; Abb. in M. Raus, S. 107.
9 - Ein solches Gemälde (70 x 75, Inv. 1989-104) erwarb vor einigen Jahren das MNHA zusammen mit
«Sonnenblumen» (61,5 x 55,5), ebenfalls von 1929 aus dem Nachlaß Felix de Rooy zum äußerst günstigen Preis
von 350 000 Fr. ; 1929 bezahlte N. Moes für dasselbe Motiv laut Katalog 1 750 Fr.
97 - In Eckernförde, der Heimat seiner Frau, wo die Klopps im Herbst 1928 verweilten.
98 - Kutter verkauft 2 seiner 18 Exponate (800-7 000 Fr.) zum gleichen Preis ; Rabinger trägt insgesamt 11 700
Fr. davon. Der Gesamterlös des Salons : 26 300 Fr. N.B. Damals kostet ein Paar gute Arbeitsschuhe knapp 50
Fr., ein Herrenanzug etwa 100 Fr. und das Quartal-Abonnement für das LW 10 Fr. laut Zeitungsreklamen !
68
Klopp scheint nun doch Aufwind zu verspüren ! Ein spätsommerli-
cher Abstecher nach Martigues beeindruckt den feinnervigen Moselaner
außergewöhnlich. Bereits die Bahnfahrt durch das Rhönetal wird zum
Erlebnis : «Bei Arles, im Lande van Goghs, wurde es Tag ; es war
bezaubernd...»”.
Die leuchtende, großflächige Farbgebung, in einer verfestigten
Komposition, des «Miroir des Oiseaux»? deutet einen Wandel in
Klopps Schaffen an, wie ihn ähnlich sein genialer Vorgänger van Gogh
in Südfrankreich erfuhr. Die in Martigues entstandenen Werke, die
gesammelten Eindrücke und Skizzen werden noch Monate nachwirken,
als das Heimweh, verbunden mit Einsamkeit, Hitze und Wind unseren
Moselaner schon längst wieder in den heimatlichen Hafen zurückge-
bracht hat (Abb. 15).
Im Sommer-Salon von 1930, wo CAL und Sezession sich wieder
vereinen, fallen unter Klopps 25 Einsendungen natürlich die mediterra-
nen Motive durch ihre Farbfreudigkeit auf. Auch seine im lothringi-
schen Grenzgebiet (Sierck, Kontz, Gandern oder Berg) gemalten
99 - «Die Olivenbäume mit den wundervollen Zypressen und Pappelgruppen und kleinen Häuschen ! Ein
solches intensives Grün und Rot habe ich noch nicht in der Landschaft gesehen. Es hatte in der Nacht geregnet.
Der Boden war purpurrot und die Wiesen smaragdgrün mit schwarzen Zypressen und blaugrünen Pappeln...»
schreibt N.K. an seine Frau : Zitat in M. Reckinger.
100 - 60 x 55 ; Leihgabe von Rosemarie H.-Klopp im MNHA ; Farbtafel in J.L. Koltz, o.c. S. 74 und in M. Raus
S. 85.
69
Ansichten scheinen wie mit neuen. Augen gesehen"! (Abb. 11). Es finden
sich Käufer für acht Olbilder (600-3 000 Fr.), eine Handzeichnung
(500 Fr.) und einen Holzschnitt (150 Fr.). Der Luxemburger Staat
erwirbt lediglich eine Federzeichnung von Martigues für 500 Fr., nicht
das überzeugendste Bild «Miroir des Oiseaux» (für 2 500 Fr.), wie es
sich Klopp wohl gewünscht hätte ! Immerhin streicht er einen Erlös von
10 600 Fr. ein'®.
Allerdings wird diese Genugtuung beeinträchtigt durch enttäu-
schende Rezensionen, vornehmlich die von Dr. Leo Lommel. Schon des-
sen anonymer Bericht zur Eröffnung des Doppel-Salons am 17.5.1930
im LW bringt den Fähnrich der Sezessionisten auf die Barrikaden.
Als Beweis móge sein Brief vom 20.5. dienen'? ! Nach einleitenden
Berichtigungen (die neun Sezessionisten stellen 95, nicht bloß 74 Werke
aus ; sie haben sich keineswegs um «Gastrecht» beim CAL bemüht, im
Gegenteil usw.) : «Seien Sie ehrlich, Herr Professor, ohne die Säle der
101 - Von Nennig bis Sierck fährt Klopp gewöhnlich mit der Bahn, um sodann per Fahrrad oder zu Fuß die
Gegend mit seinem Skizzenheft zu durchstreifen.
102 - Zum Vergleich : sein Jahresgehalt als Gemeindeeinnehmer beläuft sich 1930, also nach der Gehälterrevision,
auf 14 479,19 Fr. (vgl. Kontenbuch der St. Remich ; Abb. 25).
103 - Nl. N. K. Man fragt sich, ob dieser im Affekt geschriebene Brief wirklich abgesandt wurde !
104 - Italienbilder von Beckius werden in der Tombola verlost ; kein Werk eines Sezessionisten ist dabei !
105 - Es handelt sich um Illustrationsmaterial für die von Lommel betreute «Academia» (deren Titelbild auch
von Klopp herrührt ; vgl. Brief an L. Lommel 1.2.26) ; Klopp fordert sodann seine Druckunterlagen zurück
«andernfalls ich Ihnen dieselben berechnen muß !»
106 - Nl. N.K. 27.5.30.
70
Sezession wäre die ganze Veranstaltung eine schäbige Ausstellung !
Ihr großer Freund Beckius, der gut mit Staatsgeldern in Italien Farben
verklexen kann'®, soll Ihnen auch in Zukunft Clichees, etc. liefern'® !
In Lommels Rezension «Die Kunstausstellung im Cercle» (LW 2.6. u.
3.6.1930) genießt J.-P. Beckius in der Tat uneingeschränkte
Bewunderung. Hingegen stellen Kutters (der «einzige» eigentliche
Sezessionist laut L.) Werke «eine chaotische Welt dar, über die erst
Gottes Geist ordnend und belebend dahinfahren muß». Und Nico
Klopp ? Er «sonnt sich an der sanften Schónheit der Mosel, an der feuri-
gen Glut des Südens, aber was er mit Vorliebe darstellt, sind die alten
Gassen, Winkel und Brücken, die uns ein Stück Heimatgeschichte und
Heimatpoesie erzählen. Die Bilder würden an Ruhe und Wahrheit
gewinnen, wenn Klopp die Gegenstände luftumflossen malen wollte.
Das atmosphärische Licht breitet doch über alles einen duftigen Schleier,
unter dem erst das in allen Tönen schillernde Kolorit der Dinge
zustande kommt».
Kurz darauf richtet sich Klopp an den Präsidenten der
«Rheinischen Sezession» mit der Bitte, ihn als Mitglied aufzunehmen
und die Luxemburger Sezessionisten, wenn möglich als Gruppe, an der
internationalen Ausstellung von 1931 in Düsseldorf teilnehmen zu
lassen. «Wir haben mit großen Schwierigkeiten in Luxemburg
zu kämpfen, um dem Publikum etwas Verständnis für unsere Arbeiten
beizubringen»", klagt er.
71
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Bouquet de pavots, 1929 (cat. n° 107))
77
«Der Tod reißt mir
die Palette aus der Hand...»
Der plötzliche Tod des verbissenen Fahnenträgers der Luxemburger
Moderne ein halbes Jahr später wird dieses heranreifende Projekt
zu Fall bringen. Mit N. Klopp verschwindet übrigens auch die
Luxemburger Sezession ! Einige seiner ergreifendsten Werke, die er
noch im letzten Halbjahr gemalt hat, werden sein Atelier erst für spätere
Ausstellungen verlassen!”, So sein großzügig angelegtes Panorama, das
vor dem Beschauer die Talaue an der Greiveldinger Moselschleife mit
Flufikrippen und Uferweg, im Hintergrund Stadtbredimus und drüben
Palzem mit dem Sinzer Wald, gleich hellen Farbteppichen ausbreitet'®
(Abb. 2). Seine wohl letzte, wie von düsterer Todesahnung geprägte
«Herbstlandschaft», bleibt unsigniert'” ! Ob wohl folgende Zeilen an
seine Frau jenes Bild betreffen ? «Ich male in meiner gestohlenen Zeit
ein Bild, Nebliger Herbsttag, alles in Gold ; ganz eigenartig, Liebling,
107 - Manche der letzten Skizzen und Zeichnungen mit heimatlichen Motiven, wie «Pe’tcheseck» (s. M. Raus,
S. 11) oder Berg/Mosel (s. Abb. 11) wurden nicht mehr zu Olbildern ausgearbeitet.
108 - Im MNHA, aus dem Nachlaß Biederstaedt-Kimmes, 64,5 x 73, Inv. 1988 — 116 ; Lehrer Kimmes hatte 1932
das Bild als Abschiedsgeschenk von der Gemeinde Düdelingen erhalten ! Farbt. in J.L. Koltz, o.c. S. 75 sowie die
Sonderbriefmarke zu Klopps 100. Geburtstag. Siehe dazu auch die «Beschreibung» von B. Weber, LZ 4.4.1931 :
«Er (N.K.) hat z. B. eine Ansicht des Moseltales gemacht, etwa von der Mündung der Greiveldinger Straße in
den Leinpfad mit dem Blick auf Palzem und Stadtbredimus, im Hintergrund der Höhenzug der Wasserscheide
zwischen Saar und Mosel mit dem Sinzer Wald, dem Wahrzeichen der Gegend...».
109 - (40 x 35), eine Leihgabe von Rosemarie H.-Klopp im MNHA ; Farbt. in M. Raus, S. 87.
7^
wenn man mir diese meine Kunst nimmt, so werde ich bald sterben :
der Tod reißt mir die Palette aus der Hand...» !
Noch am 21.12.1930 berichtet er Elfriede über eine eindrucksvolle
Missionspredigt zum Thema Tod'*. Am 29.12.1930 stirbt Nico Klopp an
den Folgen einer tuberkulösen Hirnhautentzündung, in der
St.-Franziskus-Klinik am Fischmarkt!!. Seine letzte Ruhestätte — mit
dem Epitaph : und unser Herz ist unruhig bis es ruhet in Dir - findet
der «Kunstmaler» im heimatlichen Friedhof von Bech-Kleinmacher.
Ausklang
Der Präsident der Sezession, N. Ries, schildert an seinem Grabe in
bewegten Worten den Menschen und Künstler Nico Klopp'".
«Er mußte sterben, damit man sah, was er wert war !» stellt Batty Weber
im Abreißkalender «Vendu» fest, den er N. Klopp, dem «Maler der
Heimat» widmet gelegentlich der ersten posthumen Ausstellung in der
Galerie Menn (28.3.-13.4.1931)'®. Die 53 ausgestellten Ölgemälde,
be:
110 - Siehe Exzerpte aus diesem Brief bei Jos. Walentiny, im LW vom 4.1.1961.
111 - Im selben Alter wie sein Vater ! Hierzu aus einem Brief vom 15.9.1928, zu seinem Geburts- und
Hochzeitstag : «Jetzt mit 34 Jahren fühle ich, wie jung mein Vater gestorben ist !» Vgl. J. Walentiny, LW vom
4.1.1961.
112 - Vgl. CL 1931, 2, S. 277-78.
113 - LZ 4.4.1931 ; dazu auch N. Ries’ treffender Artikel in CL 1931, 3 (mit Klopps Abbildungen) oder L.
Lommels Nachrufe in LW 4.4.1931 u. Academia 1931, S. 25-27.
5
3 Handzeichnungen und 40 Holzschnitte ziehen zahlreiche Kunst-
liebhaber an, allein schon wegen der lobreichen Presseartikel. Eine
dreiköpfige Kommission des Remicher Gemeinderats wird sogar ein-
stimmig mit dem Ankauf eines Gemäldes des «verstorbenen Kunstmalers
und Gemeindeeinnehmers» in der Galerie Menn beauftragt ; Kredit :
2 000 Fr., vorbehaltlich der oberbehórdlichen Sondergenehmigung'".
Die Verbuchung dieser Ausgabe würde gegebenenfalls der neue
Gemeindeeinnehmer, nämlich Frau Elfriede Klopp, vornehmen
mussen!^
Abschließend gedenkt man noch einmal im Salon des CAL von
1932 des früheren Kollegen durch eine Auswahl von elf seiner rezenten
Werke mit Lieblingsthemen. Sie hängen neben J. Kutters ebenfalls letz-
tem Beitrag zum CAL, 15 meist auffällige Bilder, unter ihnen sein best-
bekanntes : «L'Homme au doigt coupé»!*. Der Kontrast zwischen den
beiden gleichaltrigen, ähnlich ausgebildeten und befreundeten Malern,
welche vor allem das ehrliche Streben nach Erneuerung und die entspre-
114 - Beschluß vom 21.4.1931 : Reg. aux deliberations, Remich. Fraglich bleibt, ob es damals (nach dem
Ausstellungsschluß) zum Kauf des bis heute einzigen Kloppgemäldes der Stadtverwaltung Remich :
«Eckenförde», 52,9 x 68,7 (19)22, kam.
115 - Am 2.1.1931, also 4 Tage nach Klopps Tod, hatte der Remicher Gemeinderat einstimmig, in pietätvoller
Erinnerung an ihren gewissenhaften Einnehmer, die mittellose Witwe zur Nachfolgerin ernannt ! - Im neuen
Schóffenrat saf$ nebst Bürgermeister Weidenhaupt auch Schóffe Nic. Moes ; J.P. Klopp, Bruder von N. Klopp, ist
wieder Ratsmitglied geworden.
116 - Dieses außergewöhnliche Werk war bereits im Salon d’Automne/Paris, im Palais des Beaux-Arts/Brüssel,
in der Neuen Münchener sowie in der Berliner Sezession aufgefallen ; dazu J.-E Müller, Kutter, 1981, S. 76-79.
75
chende Ablehung durch das Publikum verband, konnte kaum deutlicher
hervortreten. Müßig ist die oft aufgeworfene Frage, ob schließlich Klopp
die Bedeutung eines Kutter für die Luxemburger Kunstszene hätte
erlangen können, wenn ihm ein zusätzliches Jahrzehnt der Weiter-
entwicklung gegönnt gewesen wäre, statt daß er kurz vor dem
Durchbruch und voll schöpferischen Dranges dahingerafft wurde.
«Es zählt nun einmal das Werk, nicht das menschliche Schicksal
seines Schópfers...»'".
Wichtig scheint uns, daß ihn sein Werk überdauert hat. Noch Jahre
nach seinem Ableben griff man in manchen Veröffentlichungen gern auf
Klopps so ansprechende Handzeichnungen und Graphiken zur
Illustration zurück'*. Seine Retrospektiven von 1951 und 1969 im
Nationalmuseum, die von 1975 in Remich und 1989 in Bech-Kleimacher
(letztere in J. Sünnens Gesellschaft) verbuchten jedes Mal einen großen
Publikumserfolg. Nicht weniger beliebt sınd Reproduktionen seiner
Bilder u. a. auf Kalendern und Postkarten. Manche Autoren haben sich
mit Klopps Persönlichkeit und Werk befaßt; er inspirierte u. a. eine
beachtenswerte Monographie sowie zwei (unveröffentlichte !)
Abhandlungen. Doch bis heute steht eine eingehende Studie über
117 - Jos. Funck, Nico Klopp, in CL 1951, S. 79-80.
118 - Vgl. u.a. die CL der 30er Jahre.
76
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m (^orre 0] 0] * D... 4020 (210 «09 15& VI
«De Wénkel» à Remich, 1930 (cat. n° 125)!
yr
N. Klopps Oeuvre, dessen stilistische Entwicklung sowie ein vollstän-
diges Werkverzeichnis noch aus. Vorliegender Beitrag möchte u. a. als
Anstoß zu einem solchen Unternehmen dienen : Nico Klopps hundert-
ster Geburtstag wäre hierfür ein günstiger Anlaß !
Zum Werkverzeichnis N. Klopps
Geht man von den jeweils nur einmal in den Salons des CAL und
der Sezession der 20er Jahre ausgestellten Ölgemälde aus, so kommt
man auf ein Total von etwa 120. Die Kataloge der Retrospektiven von
1931 (Galerie Menn), 1951 (Nationalmuseum), 1969 (Nationalmuseum),
1975 (Remich) und 1989 (Bech-Kl.), führen insgesamt 226 Olbilder auf ;
allerdings handelt es sich dabei größtenteils um dieselben Exponate,
welche mehrmals, vornehmlich wegen ihrer Qualität, ausgewählt
wurden.
Was die Identifizierung vieler Werke erschwert, ist neben den ver-
schiedenen, bald deutschen, bald französischen Bildtiteln das Fehlen
oder die ungenaue Angabe der Maße, besonders in den 20er Jahren.
Größere Sammlungen wie die des Nationalmuseums (29 Olgemäl-
de, davon 15 Dauerleihgaben), der Tochter Rosemarie Hassanein-Klopp,
der Nichte Blanche Weber-Woltz sind mehr oder weniger gut erfaßt.
78
Manche Privatkollektionen im In- und (seltener) Ausland umfassen
neben den typischen, guten Werken natürlich auch zweitrangige und
kleinformatige Bilder.
Alles in allem scheinen noch um die 200 signierte Olgemälde
N. Klopps erfaßbar zu sein ; berücksichtigt man einige Dutzend
Ölskizzen und Entwürfe aus der Studienzeit, so erhöht sich diese Zahl
dementsprechend.
Es darf angenommen werden, daß die große Mehrzahl der etwa
500 Graphiken (Holz- und Linoldrucke sowie einige Metallstiche)
veröffentlicht wurden ; doch entdeckt man gelegentlich in Privathand
ein unbekanntes, meist schwarzweißes, seltener mehrfarbiges Blatt.
Nur etwa 20 der vielen Handzeichnungen Klopps wurden in den
Salons der 20er Jahre gezeigt, insgesamt 65 in posthumen Ausstellungen.
Daneben sind eine Reihe von besonders in den CL publizierten
Zeichnungen bekannt. Auch unbekannte, ab und zu sogar aquarellierte
Zeichnungen befinden sich in Privatbesitz. Studien oder Entwürfe aus
Klopps Akademiezeit gibt es an die 200 allein im Nationalmuseum (z.T.
als Leihgaben). Eine wichtige, noch unerforschte Quelle zum besseren
Verständnis von N. Klopps Werk und Arbeitsweise stellen seine zahlrei-
chen Skizzenhefte dar, im Besitz seiner Tochter Rosemarie Hassanein-
Klopp (vgl. z. B. Abb. 9-10).
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Automne, 1930 (cat. n° 130)
RO)
Quellen- und Literaturhinweise
Die umfassendste Zusammenstellung über Literatur zum Werk und
Künstler N. Klopp wurde von Carlo Hury veröffentlicht in : «Les
Publications Mosellanes de Schwebsange», 18 — Les peintres mosellans, 2
- «Nico Klopp, Das Licht der Schatten», von Michel Raus, Luxemburg
1974, S. 151-154.
Außer kleineren seither erschienenen Artikeln zum selben Thema
legte Carine Michels 1991 eine bemerkenswerte Abhandlung vor :
L'oeuvre gravée de Nico Klopp, 482 S., drei Bände, von denen zwei
ausschließlich die überwiegende Mehrzahl der Holz- und Linolschnitte
reproduzieren.
Außer diesen Quellen liegt unserm Beitrag vor allem der unveröf-
fentlichte Briefwechsel aus dem Nachlaß N. Klopps zugrunde. Dabei
handelt es sich meistens um Briefentwürfe des Malers sowie um
Antwortschreiben seiner Korrespondenten. Leider sind viele dieser
aufschlußreichen Dokumente im Laufe der letzten Jahrzehnte verschol-
len ; lediglich Zitate daraus, oft undatiert und aus ihrem Zusammenhang
gerissen, bleiben durch Veröffentlichungen erhalten.
Mein Dank für wertvolle Hinweise oder Mithilfe gebührt vornehm-
lich Frau Rosemarie Hassanein-Klopp, Frau Blanche Weber-Woltz, Frau
Milly Moes-Krier, Herrn Georges Krier, Herrn Georges Kiessel, Herrn
R 1
Nic. Folmer und Herrn Guy Gengler.
Das Gemeindearchiv von Remich (Kontenbücher,
Ratssitzungsregister usw.), sowie das ikonographische Archiv des
Nationalmuseums lieferten des weiteren nützliche Angaben.
Im Text gebrauchte Abkürzungen
BN
CAL
CL
LJ
LW
LZ
MNHA
NI.N.K.
OMZ
TB
C. Michels
Bibliothéque Nationale
Cercle Artistique de
Luxembourg
Cahiers Luxembourgeois
Letzeburger Journal
Luxemburger Wort
Luxemburger Zeitung
Musée national
d'histoire et d'art
Nachlaß Nico Klopp
Obermoselzeitung
Escher Tageblatt
Carine Michels,
L'oeuvre gravé de
Nico Klopp, 1991
(unveróffentl. Abhandlung)
Marie-Pia Mousel-Hess,
Le Cercle Artistique de
Luxembourg, 1986
(unveröffentl. Abhandlung)
Michel Raus,
Nico Klopp,
Das Licht der Schatten, 1974
Nico Klopp, 1967
(unveröffentlichte
Abhandlung)
Sammlung Rosemarie
Hassanein-Klopp
Sammlung Blanche
Weber-Woltz
N.B. : Die Bildmaße werden in cm Höhe x
Breite angegeben.
M.-P. Mousel
M. Raus
M. Reckinger
S. H.-Klopp
S. W.-Woltz
82
Arbre dans un parc, 1917
(cat. n? 135).
87
Cahiers d’esquisses de Nico Klopp
Q
cahiers ou carnets d’esquisses (cat. n° 163), aimablement
prétés par Madame Hassanein-Klopp, n'ont Jamais été
montrés au public :
I. Le cahier d'esquisses «Niko Klopp, 1917» (écriture de
Nico Klopp) - (Emil Hennig, Düsseldorf, Schadowstraße 26)
compte 41 pages (mesurant chacune 27,1 x 20 cm) sur
lesquelles se trouvent des dessins (mine de plomb,
sanguine et encre de Chine). Il s'agit essentiellement de nus
académiques et de quelques portraits exécutés en 1918.
II. Le cahier d'esquisses «1918, Aktzeichnungen, Weimar,
60 Seiten» (écriture de Madame Hassanein-Klopp) -
(Emil Hennig, Düsseldorf, Schadowstraße 26) compte
60 pages (mesurant chacune 27,1 x 19,7 cm) sur lesquelles
se trouvent des dessins (mine de plomb, encre de Chine).
Il s'agit essentiellement, de nus académiques exécutés en 1918.
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III. Le cahier d'esquisses «Aktskizzen, N 27, 32 Seiten» (écriture
de Madame Hassanein-Klopp) - (Emil Hennig, Düsseldorf,
Schadowstraße 26) compte 32 pages (mesurant chacune
22,1 x 15,8 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
(encre de Chine, mine de plomb). Il s'agit essentiellement
de nus académiques exécutés avant 1920.
IV. Le cahier d'esquisses «IN? 5, 18 Seiten» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) - (Emil Hennig, Düsseldorf,
Schadowstraße 26) compte 18 pages (mesurant chacune
21,7 x 16,4 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
(encre de Chine, mine de plomb). Il s'agit de sujets divers,
apparemment tous executes en 1921 et 1922.
V. Le carnet d'esquisses «N? 1, 50 Seiten» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) compte 52 pages (mesurant
chacune 17,3 x 10 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
(mine de plomb, crayons de couleurs). Il s’agit essentiellement
de paysages du Grand-Duché exécutés vers 1925 (notamment
Vianden, region de la Syre, Bourglinster, Clervaux).
VI. Le carnet d'esquisses «N? 2, 31 Seiten» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) compte 31 pages (mesurant
chacune 17,5 x 9,9 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
S
(mine de plomb). Il s'agit essentiellement de paysages du
Grand-Duché exécutés vers 1925 (notamment Mondorf-les-
Bains, Dalheim, Kautenbach, vallée de la Wiltz, Buderscheid,
Esch-sur-Süre, Heiderscheidergrund, Bourscheid).
VII. Le carnet de dessins «36 Seiten 3» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) avec reliure en toile, compte
36 pages (mesurant chacune 12,9 x 19,6 cm) sur lesquelles
se trouvent des dessins (mine de plomb, crayons de couleurs).
Il s'agit essentiellement de paysages du Grand-Duché exécutés
vers 1925 (notamment Stadtbredimus, Remerschen, Koerich,
Septfontaines, Ansembourg, Hollenfels, Marienthal,
Schoenfels, Mersch, Wintrange, Wasserbillig, Ahn,
Wormeldange, Ehnen).
VIII. Le cahier d'esquisses «11 Seiten, N? 4» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) compte 11 pages (mesurant
chacune 20,7 x 15,6 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
(mine de plomb). Il s'agit de paysages du Grand-Duché
(notamment Esch-sur-Alzette) et de croquis divers,
executes vers 1926.
IX. Le cahier d'esquisses «IN? 6, 22 Seiten» (écriture de
Madame Hassanein-Klopp) compte 22 pages (mesurant
R6
chacune 22 x 15,5 cm) sur lesquelles se trouvent des dessins
(mine de plomb). Il s'agit essentiellement de paysages du
Grand-Duché exécutés vers 1926 (notamment Ingeldorf,
Diekirch, Bettendorf, Reisdorf, Wallendorf, Bollendorf,
Echternach).
Observons que des paysages luxembourgeois contenus dans ces
carnets ou cahiers d'esquisses portant les numéros 1, 2, 3, 4 et 6 (V, VI,
VII, VIII et IX) peuvent être mis en relation avec des gravures réalisées
par Nico Klopp pour illustrer notamment le périodique Dze Hermat in
Wort und Bild, un supplément de la Obermosel-Zeitung publié de 1925
à 1928 et présentant diverses régions du Luxembourg. Des dessins plus
élaborés de certains motifs se retrouvent dans plusieurs numéros des
Cahiers Luxembourgeois des annees 1920 et 1930.
J.L.K.
Le Pont de Remich,
1920 (cat. n? 154).
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IV. Cahier d’esquisses
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V. Carnet d’esquisses
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VI. Carnet d’esquisses
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VII. Carnet de dessins
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VIII. Cahier d'esquisses
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118
IX. Cahier d’esquisses
119
120
Catalogue des ceuvres exposees
Peintures
1. Nature morte aux abricots, 1915
Huile sur toile, 25 x 35,5 cm
Signé, localisé et daté en bas, à droite
Collection privée
Carte postale adressée par Nico Klopp
à Mlle Maisy Klopp, 1915
Huile sur papier, 10,7 x 15,8 cm
Ecriture de Nico Klopp au dos
Collection privée
Bouquet de fleurs, 1916
Huile sur toile, 45 x 35 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection Robert Moes-André
Bouquet de pavots, 1916
Huile sur toile, 48 x 34,7 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
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Ruelle, 1917
Gouache sur papier, 27,1 x 16,2 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
* Maison dans l'Oesling, 1917
Huile sur carton, 22 x 20 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection Kayser-Gales
Besch-sur-Moselle, 1918
Huile sur carton, 16,5 x 25 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
Bateau remorqueur sur la Moselle, 1918
Huile sur toile, 32 x 35 cm
Signé et daté en bas, à gauche 1918
Collection privée
Ruelle enneigee, 1918
Huile sur toile, 36 x 30 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
10. Homme à la casquette (recto), v. 1918
Soldat (verso), v. 1918
Huile sur carton, 50 x 38,5 cm
Collection privée
11. Le pont de Remich, 1919
Huile sur carton, 19,5 x 27,7 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
Le pont de Remich, 1919
Huile sur carton, 33,5 x 41,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Gens du voyage, 1920
Huile sur carton, 15,7 x 22,5 cm
Signé et daté en haut, à droite
Collection privée
(N.B. au verso : Paysage, 1917
Huile sur carton, 22,5 x 15,7 cm)
14. Ruisseau et saules, 1920
Huile sur carton, 21 x 21 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
15. Vue de Remich, 1920
Huile sur toile, 51 x 72 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
6.
Ora et labora (vue de Remich), 1920
Huile sur toile, 65,4 x 120,2 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Paysage mosellan, 1920
Huile sur toile, 45 x 60 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
17.
IR.
Gloria in Excelsis Deo, 1920
Huile sur carton, 20 x 30 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
O
Le Waldbach à Beaufort, septembre 1921
Huile sur toile, 54,5 x 54,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Intitulé et daté au dos
Collection privée
Sous-bois, 1922
Huile sur toile, 50 x 45 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
20.
1721
21. Eckernförde, 1922
Huile sur toile, 40 x 50 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
22. Eckernförde, 1922
Huile sur toile, 54 x 70 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Administration communale
de la Ville de Remich
23. Meules, v. 1922 ?
Huile sur toile, 30,8 x 38 cm
Collection privée
24. Le pont de Remich, 1922
Huile sur carton, 17 x 26,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
5. Le pont de Remicb, v. 1922
Huile sur bois, 47 x 60 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
26. La Moselle pres de Remich, 1922
Huile sur toile, 70 x 89,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Caves Krier Fréres à Remich
27. Paysage mosellan,
(«Grauberg», Stadtbredimus et Palzem),
1922
Huile sur toile, 37,2 x 50, 4 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
28. La Moselle
entre Remich et Bech-Kleinmacher, 1922
Huile sur toile, 36,8 x 49,8 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
29. Allee, 1922
Huile sur toile, 47 x 41 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection Michel Raus
Paysage avec arbres, 1922
Huile sur toile, 30 x 35 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
31. Saint Sebastien, 1922
Huile sur carton, 22 x 10,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
32. Lutins lisant, 1922
Huile sur carton, 21,4 x 27,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée,
33. Le chevalier, 1922
Huile sur toile, 40 x 47 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
4. Au bord de l’Aalbach,
Mondorf-les-Bains, v. 1923 ?
Huile sur carton, 23,5 x 17 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
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Paysage pres de Bous, 1923
Huile sur carton maroufle sur bois,
24,8 x 37,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Vue de Remich, v. 1923
Huile sur toile, 22,4 x 34,4 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
36.
Arbres en fleur, v. 1923
Huile sur carton, 24 x 30 cm
Collection privee
38. Printemps à Remich, v. 1923
Huile sur carton, 21 x 25,5 cm
Signé en bas, à droite
Collection privée
39. Fenaison à la Moselle, v. 1923
Huile sur toile marouflée sur panneau,
17,5 x 27,5 cm
Signé en bas, à droite
Collection privée
40. Palzem-sur-Moselle, 1923
Huile sur panneau, 31 x 55 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
122
41. Remicb, 1923
Huile sur toile, 27 x 42 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
42. Bech-Kleinmacher, 1923
Huile sur toile, 27 x 42 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
13. Vue de Bruges, 1923
Huile sur carton, 18,5 x 24 cm
Signé, localisé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Maisons à Bruges, 1923
Huile sur carton, 20,5 x 28,5 cm
Signé, localisé et daté en bas, à droite
Intitulé au dos
Collection privée
5. La chapelle du Béguinage, Bruges (étude),
1923
Huile sur carton, 19 x 24,8 cm
Signé, localisé et daté en bas, à gauche
Intitulé, signé et daté au dos
Collection privée
t6. La chapelle du Béguinage, Bruges, 1923
Huile sur toile, 52,7 x 63,2 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé, signé avec mention «cadeau de mariage
aux époux Jean-Pierre Schumacher-Rettel, 1930»
Collection privée
4
7. Bouquet de fleurs, 1923
Huile sur toile, 90 x 56 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
48. Bouquet de fleurs, 1923
Huile sur carton, 27 x 47 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
19. Luxembourg, le viaduc, v. 1923 ?
Huile sur carton, 26 x 34 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
50. Forains a Remich, 1923
Huile sur carton, 15,5 x 21,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
51. Forains à Remich, 1923
Huile sur carton, 21 x 29 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Eckernförde, 1923
Huile sur toile, 39 x 32 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Besch-sur- Moselle, 1923
Huile sur toile, 21 x 30 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Ruisseau de Bous, 1923
Huile sur carton, 23,3 x 18,6 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Saules, 1924
Huile sur carton, 26 x 30,9 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
56
Paysage avec saules en hiver, 1924
Huile sur carton, 20 x 29 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Paysage avec sanles, v. 1924
Huile sur carton, 31 x 41 cm
Signé en bas, à droite
Collection privée
58. Remich, drapeau national
(ruelle pavoisée à Remich), v. 1924 ?
Huile sur carton, 24 x 18 cm
Signé en bas, à gauche
Intitulé au dos
Collection Joseph Muller
59. La Moselle prés de Schengen, 1924
Huile sur toile, 44 x 68 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art
123
60. Meules, v. 1924 ?
Huile sur carton, 18,5 x 27,5 cm
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
51. Meules, 1924
Huile sur toile, 38 x 52 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection Kayser-Gales
Szerck-les- Bains, 1924
Huile sur carton, 32 x 36,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Vue de Wellenstein, v. 1924
Huile sur toile, 45 x 78 cm
Signé en bas, à droite
Collection privée
54. Le pont de Wormeldange, 1924
Huile sur carton, 26 x 34,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Le pont de Remich, 1924
Huile sur bois, 37,5 x 17 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection Francis Heldenstein
36.
Saules dans les prés au mois de septembre,
1924
Huile sur carton, 35 x 29,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé, signé, localisé et daté au dos
Collection privée
57. Soleil couchant (Aalbach),
Mondorf-les-Bains, 1924
Huile sur carton, 19,5 x 24,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé et signé au dos
Collection privée
58. Paysage avec saules, 1925
Huile sur bois, 24,5 x 24,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
69. Ruisseau de Bous, 1925
Huile sur toile, 70 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
70. Paysage avec saules, 1925
Huile sur toile, 29,5 x 23 cm
Signé et daté en bas, au milieu
Musée national d'histoire et d'art,
legs Madame Wilhelmy-Hoffmann
71. Ruisseau de Bous, 1925
Huile sur carton, 26,5 x 21,4 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
72. Arbres sur ciel bleu, v. 1925
Huile sur carton, 27 x 21 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
73. Le ruisseau de Bous, v. 1925
Huile sur carton, 27 x 21 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
Le pont de Remich, 1925
Huile sur toile, 35 x 47 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d’histoire et d’art
4
75
Vue de Remich, 1925
Huile sur carton, 23,7 x 34,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
76. La porte Saint-Nicolas à Remich, 1926
Huile sur toile, 60,8 x 46 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
77. Pont à Bruges, 1926
Huile sur toile, 69 x 59 cm
Signé et daté en bas, à droite
Intitulé au dos
Collection privée
8. Marée basse à La Panne, 1926
Huile sur carton, 30,5 x 25,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé au dos
Collection privée
79. Katterogge (Flandres), 1926
Huile sur bois, 29 x 33 cm
Intitulé, signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
124
80. Dragueur sur la Moselle, 1926
Huile sur carton, 25 x 29,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Calvaire à Remerschen, 1926
Huile sur carton, 35 x 30 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d’histoire et d’art
82.
Vieux moulin au bord de la Syre, 1926
Huile sur carton, 30 x 24 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
33. Ruisseau et saules, 1927
Huile sur carton, 22 x 27 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
4.
Contre-jour, barques à marée haute,
Nieuport (Yser), 1927
Huile sur carton, 33 x 35 cm
Signé, localisé et daté en bas, à gauche
Collection privée
35. Porte Saint-Boniface à Bruges, 1927
Huile sur carton, 63,3 x 38 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
36. Porte Saint-Boniface à Bruges, 1927
Huile sur toile, 60 x 49,8 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Moulin à Klemskerke, 1927
Huile sur toile, 75 x 80 cm
Intitulé, signé et daté en bas, à droite
Collection privée
38. Le pont de Remich, 1927
Huile sur toile, 49 x 62 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d’histoire et d’art
19. La «Fëschergaass» à Remich, 1928
Huile sur toile, 50 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection Christian Bauer
0. Dragueur sur la Moselle, 1928
Huile sur toile, 75 x 80 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d’histoire et d’art
91. Pont de Remich, contre-jour, 1928
Huile sur toile, 56 x 61 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
32. Dragueur sur la Moselle, 1928
Huile sur carton, 50 x 55 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
33.
Dragueur sur la Moselle, 1928
Huile sur carton, 56 x 51 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
24
Kermesse à Remich, v. 1928
Huile sur carton, 20 x 33,5 cm
Signé en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
legs Carlo Hemmer
25,
Nature morte à la bouteille et aux fruits,
1928
Huile sur toile, 42 x 50 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
36. Bégonias, v. 1928
Huile sur toile, 29 x 32 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
37.
Nature morte aux poires et aux pommes,
1928
Huile sur toile, 55 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art
98. Poupees, 1928
Huile sur bois, 60 x 55 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
29. Remich sous la neige, 1929
Huile sur toile, 80 x 89 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
125
100. Dragueur devant le pont de Remich, 1929
Huile sur toile, 70 x 75 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art
101. Dragueur devant le pont de Remich, 1929
Huile sur toile, 55,4 x 60 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
102. Le Bousserbach, 1929
Huile sur carton, 34,5 x 39 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
103. Aux carrières de l’Obermosel, 1929
Huile sur toile, 46 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé, signé et daté au dos
Collection privée
(04. Bouquet de tulipes, 1929
Huile sur toile, 60 x 55 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
105. Pavots et tournesols, 1929
Huile sur toile, 45 x 50 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
106. Meules, v. 1929
Huile sur carton, 23,5 x 30 cm
Musée national d’histoire et d’art
uM =
107. Bouquet de pavots, 1929
Huile sur toile, 45 x 52 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
108. Tournesols, 1929
Huile sur toile, 60,5 x 55,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art
109.
Martigues, le Miroir-des-Oiseaux, 1929
Huile sur bois, 60 x 55 cm
Signé, localisé et daté en bas, à gauche
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
cr
110.
Martigues, bateaux et escalier, 1929
Huile sur bois, 60 x 54,5 cm
Signé, localisé et daté en bas, à droite
Intitulé au dos
Collection privée
111
Martigues, la Pointe-de-Brescou, 1929
Huile sur toile, 75 x 80 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
112.
Bateaux à Martigues, 1929
Huile sur carton, 44 x 50 cm
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
113
Bateaux à Martigues, 1929
Huile sur carton, 45 x 50,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art
114. Bateau à Martigues, 1929
Huile sur carton, 54 x 59,8 cm
Signé, localisé et daté en bas, à gauche
Collection privée
Au bord de l’Aalbach, Mondorf, 1929
Huile sur bois, 45 x 50 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Intitulé et signé au dos
Collection privée
116. Agave et cactées, 1930
Huile sur toile, 55 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
La Moselle ä Remich au printemps, 1930
Huile sur toile, 55 x 59 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
118. «Casino» à Ebnen, 1930
Huile sur toile, 55 x 59,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
« Casino» à Ebnen, 1930
Huile sur carton, 22 x 37 cm
Signé et daté en bas, à droite
Intitulé et signé au dos
Collection Kavser-Gales
119
126
120. «Casino» à Ebnen, 1930
Huile sur toile, 56 x 59 cm
Signé et daté en bas, à droite
Collection privée
121. Srerck-les- Bains, v. 1930
Huile sur toile, 45 x 50 cm
Signé en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
122.
Sierck-les-Bains, v. 1930
Huile sur carton, 28 x 22 cm
Signé en bas, à gauche
Collection privée
Szerck-les- Bains, 1930
Huile sur toile, 55,3 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
al ol
rh:
123.
124. La «Féschergaas» a Remich, 1930
Huile sur toile, 65 x 43,2 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection Madame Joseph Altwies
125. «De Wenkel» ä Remich, 1930
Huile sur toile, 74,5 x 69,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
126. Ruelle, 1930
Huile sur carton, 45 x 35 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
127. Paysage mosellan
(Stadtbredimus, Palzem), 1930
Huile sur toile, 64,5 x 73 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
lees Madame Biederstaedt-Kimmes
128. Paysage mosellan (Remich), 1930
Huile sur toile, 55 x 60 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
129
Kermesse à Mondorf, 1930 ?
Huile sur carton, 18 x 24 cm
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
130. Automne, 1930
Huile sur carton, 40 x 35 cm
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
Dessıns
131. Ossements humains (dessin anatomique),
28.3.1916
Encre de Chine, 37,5 x 49,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
132.
Cränes humains (dessin anatomique), v. 1916
Aquarelle, 43,5 x 33 cm
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
Projet de ball d'entrée, 23.7.1916
Aquarelle, 36 x 33,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
Projet de chambre à coucher, v. 1916
Aquarelle, 42,5 x 37,8 cm
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
133.
134.
135.
Arbre dans un parc, 1917
Crayon, 22,2 x 15,8 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
Portrait de fillette, 1917
Fusain avec rehauts blancs, 48 x 31,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
Portrait de jeune gargon, 28.3.1917
Fusain, 47,5 x 31,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
136.
137.
138.
Portrait de femme, 1917
Fusain, 47,5 x 31,5 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
127
139. Portrait de femme, 1917
Fusain, 47,5 x 31,9 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
140. Portrait de femme, 6.3.1918
Pastel brun, 64,7 x 48,7 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
141. Portrait d’homme, 1918
Pastel brun, 64,8 x 48,9 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
142.
Soldat, 1918
Pastel brun, 41,7 x 34,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
143.
Soldat, 1918
Pastel, 48,5 x 32,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
144. Portraits de jeune homme et de soldat,
v. 1918
Pastel, 65,2 x 46,8 cm
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
145. Paysage aux saules, 1919
Encre de Chine, 14,2 x 15,4 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
146.
Paysage aux poteaux télégraphiques, 1919
Encre de Chine, 13,5 x 18,4 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
147.
Paysage, 1919
Encre de Chine, 11,6 x 18,6 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
& ur,
148. Paysage, v. 1919
Encre de Chine, 14 x 21,2 cm
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
149. Projets de timbres
pour la Republique de Weimar, 1919
Aquarelle, 27,2 x 21,2 cm
Musée national d'histoire et d'art,
don de Madame Hassanein-Klopp
Trois peupliers, 1919
Encre de Chine, 14,2 x 16,5 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
151.
Nature morte à l’oiseau mort, 1919
Encre de Chine, 24,5 x 19 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
152.
Femme assıse, 1919
Encre de Chine, 19,3 x 12,6 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
153
Femme assise, 1919
Encre de Chine, 19,2 x 14,3 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
154.
Le pont de Remich, 1920
Encre de Chine, 13,2 x 19 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
155.
Femme assise, 1921
Crayon, 17 x 12,3 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
156.
Femme assise devant un poéle, 1921
Encre de Chine, 15,7 x 12,7 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
198
157. Paysage avec arbres, 1923
Encre de Chine, 12 x 14,2 cm
Signé et daté en bas, à droite
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
158. Autoportrait, 1926
Encre de Chine, 19 x 15 cm
Signé, intitulé et daté en bas, au milieu
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
159.
Vieilles maisons, v. 1929
Encre de Chine, 29 x 18 cm
Signé en bas, à droite
Collection privée
160. Chapelle à Martigues, 1929
Encre de Chine et crayons de couleurs,
22 x 33 cm
Signé, daté et localisé en bas, à gauche
Collection privée
161.
Maison avec tour (Petcheseck), 1930
Encre de Chine, aquarelle et gouache,
34 x 29 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
162. Berg-sur-Moselle, 1930
Encre de Chine, 23 x 38 cm
Signé et daté en bas, à gauche
Collection privée
163. 9 cahiers d’esquisses : les cahiers portant
les numéros 1, 2, 3, 4 et 6
(V, VI, VII, VIII et IX) présentent des vues
du Grand-Duché de Luxembourg
Collection Madame Hassanein-Klopp
Gravures
164. Hiver à Weimar, 1919
Gravure sur bois, 15,1 x 20,2 cm
(16,8 x 22,5 cm)
Intitulé et signé en bas (gravure sur bois)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
165. Don Quichotte, 1922
Gravure sur lino, 14 x 18,3 cm (18,9 x 24,5 cm)
Intitulé, signé, localisé et daté en bas (g.s.l.)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
166.
Calvaire, 1923
Gravure sur lino, 14,5 x 11, 8 cm
(23,9 x 17,8 cm)
Intitulé, signé et daté (g.s.l. tir 1/20)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
Saint Sébastien, 1923
Gravure sur lino, 14,4 x 9,2 cm (17,7 x 11,2 cm)
Intitulé, signé et daté en bas (g.s.l. tir 1/10)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
167.
168.
Maison de campagne, 1924
Gravure sur lino (2 couleurs),
7,5 x 13 cm (17,6 x 23,7 cm)
Intitulé, signé et daté en bas (grav.s.lin.)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
Intérieur d'église, v. 1924
Gravure sur lino (4 couleurs),
10,7 x 8,4 cm (24,4 x 15,2 cm)
Signé en bas, à gauche (tir. 1/20)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
169.
1! 70.
Autoportrait, 1926
Gravure sur lino, 15,2 x 10,8 cm (17,7 x 12,2 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.lino tir 1/10)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
Vallée de la Moselle à Grevenmacher,
v. 1926
Gravure sur lino (2 couleurs),
12,1 x 10 cm (15 x 12 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. 1/5)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
171.
| 72.
Avant-printemps au bord de l’Alzette
(Berchem), v. 1926
Gravure sur lino, 12,1 x 9,9 cm (20,4 x 14 cm)
Signé en bas, à droite (épreuve tirage 1/10)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
129
173. Avant-printemps au bord de l'Alzette
(Berchem)
Gravure sur lino, (3 couleurs),
12,2 x 10 cm (16,6 x 12,6 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.lino tir 1/10)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
174. Meules de blé, v. 1926
Gravure sur lino rehaussée de crayons
de couleurs, 7,7 x 9 cm (25,7 x 16,1 cm)
Intitulé et signé en bas (tir. d’épreuve g.s.l.)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
Meules de blé en hiver, v. 1926
Gravure sur lino (3 couleurs),
7,7 x 9,1 cm (11,5 x 13 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. tir. 1/5 IV)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
176. La chapelle (Clervaux), v. 1927
Gravure sur lino (3 couleurs),
9,1 x 7,1 cm (11,8 x 8,9 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. tir 1-6)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
175.
177.
Port de peche ä Eckernförde, v. 1928
Gravure sur lino (2 couleurs),
7,6 x 11,1 cm (14 x 18,9 cm)
Intitulé et signé en bas (Abz. N4)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
178. Port de peche ä Eckernförde, v. 1928
Gravure sur lino (2 couleurs),
7,6 x 11,1 cm (17,5 x 19,5 cm)
Intitulé et signé en bas (Abz. N? 6)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
179. Dans le port (Eckernförde), v. 1928
Gravure sur lino (2 couleurs),
7,5 x 11,1 cm (16,9 x 21,9 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. Abz. N? 8)
Musée national d'histoire et d'art,
prét de Madame Hassanein-Klopp
180. Château de Clervaux, v. 1929
Gravure sur lino (3 couleurs),
10 x 7,6 cm (14 x 11,2 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. tir 1/10 VI)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
181. Le Miroir-des-Oiseaux (Martigues), v. 1929
Gravure sur lino, 12,4 x 19,3 cm (25,4 x 19,3 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. 1/10)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
182. Barques reposantes (Martigues), v. 1929
Gravure sur lino, 8,5 x 12 cm (24,6 x 17,6 cm)
Intitulé et signé en bas (g.s.l. 1/10)
Musée national d’histoire et d’art,
prêt de Madame Hassanein-Klopp
Meules de blé, v. 1926
(cat. n? 174).
130
Table des matiéres
Avant-propos de M. Paul Reiles
Preface de M. Jean Luc Koltz
J
E
7
Nico Klopp, ein Maler der Heimat
par M. Gerard Thill
Der Winzersohn
Der Kunststudent
Der Hungerkünstler
Der Gemeindeeinnehmer
Der Maler und sein Publikum
Der Vorkämpfer der Sezession
«Der Tod reißt mir die Palette aus der Hand...»
Ausklang
Cahiers d’esquisses de Nico Klopp
11
11
15
25
36
44
62
73
74
04
X
Catalogue des ceuvres exposées
Peintures
Dessins
Gravures
121
127
129
Credit photographique :
Photos du Musée national d'histoire et d'art, Luxembourg.
Trois peupliers, 1919 (cat. n° 150).