BISSIERE
MUSEE D’HISTOIRE ET D’ART - LUXEMBOURG
23 OCTOBRE - 22 NOVEMBRE 1970
STADTISCHES MUSEUM - TRIER
6. DEZEMBER 1970 - 17. JANUAR 1971
Cette exposition est organisée à Luxembourg dans le
cadre de l’accord culturel franco-luxembourgeois.
Le Musée d’Histoire et d’Art de Luxembourg et le Mu-
sée de la Ville de Trèves expriment leurs vifs remercie-
ments à toutes les personnes, et notamment à tous les
prêteurs, grâce à l’obligeant concours desquels elle a pu
être réalisée. Ils remercient tout particulièrement Mon-
sieur Jean-François Jaeger, directeur de la Galerie
Jeanne Bucher à Paris, Monsieur Jean Coural, adminis-
trateur général du Mobilier National à Paris et Mon-
sieur Pierre Schmitt, conservateur du Musée d’Unter-
linden à Colmar.
Si Bissière était mort avant d’atteindre la cinquantaine, l’idée
que l’on se ferait de lui n’aurait rien à voir avec celle qui se rattache
maintenant à son nom. Sans doute pouvons-nous découvrir dans
quelques paysages de 1927 la surprenante annonce de ces surfaces
recouvertes de petites taches lumineuses ou amorties qui le caracté-
riseront plus tard, mais en général la connaissance des maîtres et
l’admiration qu’il leur porte le font osciller entre le Réalisme et le
Cubisme. Il ne commence à se trouver que lorsqu’il se décide en 1937
à rompre totalement avec la tradition réaliste, à oublier ce qu’il
sait et à remplacer la rondeur du langage conventionnel par les
simplifications et la raideur d’un primitivisme voulu.
En 1938, il rompt également avec la vie qu’il a menée jusqu’alors
à Paris. Depuis 1925, il enseignait à l’Académie Ranson (et en dehors
de l’école, il donnait des conseils à des jeunes comme Bertholle, Le
Moal, Manessier). Il quitte maintenant ce poste; bientôt il tournera
le dos même à Paris pour s’installer à Boissiérettes dans Le Lot, où il
3 Paysage, 1927
demeurera jusqu’à sa mort, et Paris ne le reverra plus qu’à de rares
occasions. Retiré dans une solitude discrète, il habite une vieille
maison qui avait appartenu à sa famille et qu’entoure une vaste
propriété un peu sauvage, mais attachante. Bissière s’y sent chaque
jour invité à observer la nature, à entrer dans son intimité, à se
laisser pénétrer par elle. Aussi, «les bêtes, écrira-t-il en 1947, les
arbres, le vent et le soleil, ce qu’aima tant le petit frère d’Assise, tout
cela a pris pour moi un sens nouveau, son sens véritable».
Cependant, il ne se remet pas tout de suite au travail. Et quand
il le fait, vers 1945, c’est moins pour créer des tableaux que pour
réaliser des tentures. Des tentures très particulières, car loin d’être
tissées dans une manufacture (comme les tapisseries d’Aubusson, par
exemple), elles résultent d’un assemblage de vieilles étoffes de toutes
sortes, et elles sont entièrement exécutées par Bissière et sa femme.
Si le dessin y a ce caractère primitif qu’il avait dans la Grande
Figure de 1937, le découpage des étoffes et les broderies lui ont donné
plus de liberté et sa gaucherie a l’air plus naturelle. Aussi est-il possible
que l’on pense devant ces oeuvres à la peinture des enfants, mais
leur aspect à la fois un peu fruste et noble, ingénu et solennel, les
apparente également à ces tissus admirables que nous devons aux
Coptes.
Les tableaux qui accompagnent ou suivent ces tentures sont
naturellement traités dans un esprit analogue. Aplatis, sommairement
8 Nu couche, 1936
6 Nu à l’angelot, 1935
16 L’ange de la Cathedrale, 1946
; 13 Vénus blanche, 1946
dessinés à l’aide de quelques lignes «maladroites», les personnages s’y
réduisent à des bonshommes. Bien que leurs visages, qui normalement
se présentent de face, ne soient pas sans expression, que nous y voylons
notamment les regards qui nous fixent avec quelque insistance, leurs
contours se soumettent à la structure du tableau; mieux, ils sont des
éléments de cette structure, et, comme Klee, Bissière aurait pu
expliquer son dessin par le souci de laisser à ses lignes une élémentaire
pureté. D'ailleurs, vers le milieu des années cinquante, il renonce à
toute figuration, et elle ne reparaîtra plus que dans quelques oeuvres
qu’il exécutera vers la fin de sa vie.
Est-ce à dire que dorénavant il refuse ou réduit les contacts
avec le monde extérieur? Nullement. Nous remarquons même qu’il les
rend plus étroits. Il efface les objets, mais conserve leur suc, leur
essence, leur charge poétique. Il traduit l’empreinte qu’ils ont laissée
dans sa sensibilité et témoigne de la ferveur que leur présence ou leur
souvenir ont suscitée dans son âme. Voici en effet des verts qui ne
revêtent pas des plantes ou des feuillages, mais qui évoquent des
jardins, des prairies, des forêts, tantôt une nature jeune, printanière,
gonflée par l’acidité de la sève qui revient, tantôt une nature que la
pluie a saturée de fraîcheur, de vitalité ou que le soleil de l’été a
mûrie. Voici non pas une terre labourée, mais des bruns qui nous la
rappellent en même temps qu’ils nous font penser à des troncs d’arbres
ou à des meubles rustiques patinés par les siècles. Voici des gris qui
doucement s’éclaircissent sous l’effet de l’aurore, et en voici d’autres
dans lesquels s’approfondit le silence du crépuscule. Il se peut que
le titre indique la réalité à laquelle l’artiste a fait allusion. Mais
il arrive aussi que, se bornant à désigner l’accord de couleurs qui
domine sur la toile, il n’apporte aucun éclaircissement, ne suggère
aucune interprétation. Néanmoins, dans les deux cas, nous avons
affaire au même genre de peinture, d’autant plus que nul titre n’est
capable de cerner tout le contenu de ces oeuvres. Ce que les unes et
les autres nous font découvrir en dernière analyse, ce sont des sen-
sations et des sentiments transposés dans une création picturale, avec
ce que cela implique de nouveau, d’imprévisible et d’ineffable.
Quant à la sensibilité et à l’imagination qui déterminent la nature
de cette création, elles sont fines et délicatement chaleureuses. Rien
de dur chez Bissière, rien de lourd, rien d’orgueilleux non plus. Ce
n’est point par hasard qu’il a cité «le petit frère d’Assise», dont il
a d’ailleurs illustré le Cantique à notre frère Soleil par une série
d’exaltantes gravures. Un lyrisme fervent et grave se matérialise
dans ses oeuvres, mais on n’y trouve pas d’emphase et pas de cris.
Même dans le Journal qu’il peint en 1962-64 après la mort de
sa femme, Bissière exprime ses déchirements avec réserve, préférant
aux éclats de voix qui se veulent bouleversants la parole murmurée
qui s’insinue lentement dans notre âme.
«D’aucuns, a-t-il écrit un jour, se placent sous l’égide de Pascal,
de Bergson ou de Sartre. Ça fait sérieux. Pour ma part je suis plus à
l’aise à l’ombre d’Edith Piaf». Entendons qu’il attache plus de prix
à l’émouvante confidence qu’à la rhétorique ambitieuse. N’empêche
qu’il peint non pour se livrer à des simples effusions, mais pour créer
des oeuvres complexes, raffinées, riches en saveurs, rayonnantes de
poésie.
Joseph-Emile MULLER
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DE. A A] A EEE
Meuble construit et peint par Bissicre - au-dessus: 17 Grande Composition, 194%
Hätte Bissiere sein 50. Lebensjahr nicht erreicht, dann verbände
sich mit seinem Namen eine wesentlich andere Vorstellung als die-
jenige, die heute gültig ist. Zweifelsohne künden sich in einigen
Landschaften von 1927 überraschenderweise jene mit kleinen leuch-
tenden oder gedämpften Flecken bedeckten Flächen an, wie sie
später bezeichnend sind; aber im ganzen gesehen oszilliert der dama-
lige Bissiere, unter dem Einfluß alter und neuer Meister, zwischen
naturnäheren und kubistischen Absichten. Sich selbst beginnt er erst
zu finden, als er sich 1937 entschließt, mit allem zu brechen, was von
realistischen Anschauungen überkommen ist, aber auch alles Ge-
wußte zu vergessen und die glatte konventionelle Sprache durch die
Vereinfachungen und die Strenge eines gewollten Primitivismus zu
ersetzen.
Er bricht 1938 dann auch noch mit dem Leben, das er bis da-
hin in Paris geführt hat: seit 1925 lehrte er an der Akademie Ranson
(und außerhalb der Schule beriet und ermutigte er junge Künstler
wie Bertholle, Le Moal, Manessier). Jetzt gibt er seine Stellung auf,
ja er kehrt sogar sehr bald Paris den Rücken, um sich in Boissiérettes,
im Departement Lot, niederzulassen. Er bleibt dort bis zu seinem
Tode. Paris sieht ihn nur noch gelegentlich. Er bewohnt, ohne viel
Besuch zu erhalten, ein altes Haus, mit einem großen, etwas verwil-
derten, aber reizvollen Garten. Hier kann er jeden Tag die Natur
beobachten, sich ın sie versenken und sich ganz anfüllen mit ihr.
Daher denn auch 1947 seine schriftliche Außerung: „Tiere, Bäume,
Wind und Sonne, alles was der kleine Bruder von Assisi so sehr
geliebt hat, es hat für mich nunmehr einen neuen Sinn, seinen wirk-
lichen‘ Sinn“.
Allerdings beginnt er dort nicht sofort mit der Arbeit. Und als
er es um 1945 tut, dann weniger, um Gemälde entstehen zu lassen.
Er macht Wandbehänge, sehr eigenartige. Nicht wie diejenigen, die
in einer Manufaktur am Webstuhl hergestellt werden (wie beispiels-
weise die Aubusson-Wandteppiche), sondern Zusammensetzungen
von alten Stoffstücken aller Art. Die Ausführung geschieht durch
Bissière selbst, und durch seine Frau. Ist die Zeichnung dabei so pri-
mitiv wie in der Großen Figur von 1937, so haben das Zu-
schneiden der Stoffe und das Sticken ihm doch mehr Freiheit gege-
ben. Das ,,Linkische‘“ wird natürlicher, selbstverständlicher. So denn
auch läßt sich vor diesen Werken an Kindermalerei denken, aber die
zugleich ein wenig rauhe wie ebenso vornehme, unbefangene und
x
42 Gris et violet, 1957 -*
feierliche Erscheinung bringt sie auch den wunderbaren Webarbeiten
der Kopten nahe.
Die Gemälde, die gleichzeitig oder ım Anschluß an die Stoff-
arbeiten entstehen, kommen natürlich aus dem entsprechenden Geist.
Die in ihrer Flächigkeit summarisch mit einigen „ungeschickten“
Linien bezeichneten menschlichen Figuren sind zu „Männlein“ redu-
ziert. Ihre Gesichter, die ın der Regel sich en face zeigen, sind nicht
ohne Ausdruck. Ihr Blick geht auf uns und fixiert uns ziemlich auf-
dringlich. Die Konturen der Gestalten aber unterwerfen sich der
Bildstruktur; besser gesagt sind sie Flemente dieser Struktur, und
Bissière hätte seine Zeichnung mit den Worten Klees erklären kôn-
nen, er suche ,,eine gegenständliche Vorstellung (. . .) mit reiner Dar-
stellung des linearen Elementes zu verbinden“. Im übrigen verzich-
tet er seıt etwa der Mitte der fünfziger Jahre auf alles Gegenständ-
liche. Nur noch in einige gegen Ende seines Lebens entstandene
Werke ist die Figuration zurückgekehrt.
Soll dies heißen, daß er nunmehr den Kontakt mit der Welt
der sichtbaren Erscheinung ablehnt oder einschränkt? Keineswegs
ist das der Fall. Man muß sogar sagen, daß er den Kontakt ver-
stärkt. Er wischt die Gegenstände weg, behält aber ihren Extrakt,
ihre Essenz, ihre poetische Fracht. Er übersetzt, was sich von ihnen
in seine Empfindsamkeit wie ein Stempel eingedrückt hat. Er be-
zeugt, mit welcher Inbrunst ihre Gegenwart oder ihre Erinnerung
seine Seele erfüllt. Da sind Grüntöne, die keine Kleider von Pflan-
zen oder Bäumen sind, aber Gärten, weite Wiesen, ganze Wälder
evozieren. Einmal ist es junge, frühlingshafte Natur, übervoll vom
steigenden, säuerlichen Saft, andere Male eine Natur von jener
Frische, mit welcher der Regen sie gesättigt hat, dann lebensvolle
oder von Sommersonne ausgereifte Natur. Da ist kein gepflügter
Boden, aber die Brauntöne bringen uns den Acker in Erinnerung
und rufen gleichzeitig Baumstümpfe oder rustikale, die Patina von
Jahrhunderten tragende, Möbel auf. Da sind Grautöne, die sich unter
der Wirkung des Sonnenaufgangs allgemach aufhellen, und andere,
in deren Tiefe das Schweigen der Abenddämmerung niedersinkt. Es
kommt vor, daß der Bildtitel die Realität anzeigt, auf die der Maler
anspielt, aber es gibt auch die Fälle, wo er nur den Farbakkord
bezeichnet, der in der Bildfläche die Herrschaft hat; wo er dem
Betrachter keinerlei Handhabe gibt, ihm keinerlei Interpretation
suggeriert. Nichtsdestoweniger haben wir es in beiden Fällen mit
der gleichen Art Malerei zu tun, und das gilt um so mehr als kein
Bildtitel imstande ist, den ganzen Gehalt des Bildes zu fassen. Was
diese und jene Werke uns in einer bis zum Ende getriebenen Analyse
entdecken lassen, das sind Sensationen und Sentiments in ihrer Ver-
wandlung in picturale Schöpfung; mit allem, was dazu an Neue-
rung, Unvorhergesehenem, Unaussprechbarem gehört.
38 Voyage au bout de la nuit, 1955
tie Journal, 22 août 1963
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69 Journal, 12 novembre 1963
Was die Sensibilität und die bildwirkende Einbildungskraft an-
geht, welche die Natur solcher Schöpfung ausmachen, so sind sie
ebenso fein wie herzlich. Bei Bissiere gibt es keine Härte, keine
Schwere, und auch keinen Stolz. Nicht zufällig hat er „den kleinen
Bruder von Assısı“ zitiert, dessen Sonnensang er übrigens illu-
striert hat, in einer Serie erregender Graphiken. Ein warmer und
ernster Lyrismus hat in seinen Werken Gestalt angenommen, aber
ohne Emphase und lautes Gebaren. Selbst in dem Journal, das
er von 1962 bis 1964 nach dem Tod seiner Frau malt, drückt er
nur mit Zurückhaltung aus, was ihm das Herz zerreißt, zieht er
das geflüsterte Wort den Stimmausbrüchen vor.
„Es gibt welche“, so hat er eines Tages geschrieben, „die sich
unter die Agide von Pascal, Bergson oder Sartre stellen. Das macht
einen seriôsen Eindruck. Ich für meinen Teil fühle mich wohler im
Schatten von Edith Piaf‘. Fassen wir es so auf, daf er der rührenden
Vertraulichkeit mehr Wert zuschreibt als der ambitiösen Rhetorik.
Das steht dem nicht ım Wege, daß er malt nicht um sich simplen
Ergüssen hinzugeben, sondern um komplexe, raffinierte Werke zu
schaffen, Werke voll von Dichtigkeit und Poesie.
Joseph-Emile MULLER
(Übertragung: C. Schweicher)
81 Silence du crepuscule, 1964
PEINTURES
1 Deux personnages, 1920 8 Nu couche, 1936
Huile sur toile Huile sur bois
106 X96 cm 46 X107 cm
2 Trois Filles à marier, 1925 9 Grande figure, 1937
Huile sur toile Huile sur bois
115 X76 cm 162X44 cm
3 Paysage, 1927 10 Descente de Croix, 1937
Huile sur toile Huile sur toile
55 X38 cm 46 X27 cm
1 Paysage, 1927 11 Les cartes, 1944
Huile sur toile Huile sur toile
39X61 cm 54 X72 cm
5 Nature morte, 1930 12 Vénus noire, 1945
Huile sur toile Huile sur toile
30X37 cm 100X81 cm
5 Nu à l’angelot, 1935 13 Vénus blanche, 1946
Huile sur toile Huile sur toile
24 X33 cm 110X76 cm
7 Intérieur, 1936 14 Paysage, 1946
Huile sur toile Huile sur toile
38 X55 cm 50X100 cm
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Journal, 2 février 1963
15 Le berger, 1946 25 La plage, 1950
Huile sur toile Peinture à l’oeuf sur papier marouflé
100X65 cm 25 X53 cm
16 L’ange de la cathédrale, 1946 26 Le chat, la maison, 1951
Huile sur papier marouflé Peinture à l’oeuf sur toile
100X61 cm 81X65 cm
17 Grande composition, 1947 28 Peinture, 1953
Peinture à l’oeuf sur toile Peinture à l’oeuf sur papier marouflé
162X81 cm 127 X44,5 cm
18 Soleil noir, 1949 29 Vert et ocre, 1954
Peinture à l’oeuf sur bois Huile sur toile
61X26 cm 116X81 cm
19 La fenêtre, 1949 30 Composition 183, 1954
Huile sur toile Huile sur toile
40X27 cm 50X131 cm
20 Oiseau de nuit, 1950 31 Gris et bleu, 1954
Peinture à l’oeuf sur bois Huile sur papier marouflé
33X22 cm 65X19 cm
21 Plein soleil, 1950 32 Ocre, 1954
Peinture à l’oeuf sur carton Huile sur toile
33 X24 cm 77 X47 cm
22 L’Étoile blanche, 1950 33 Peinture 231, 1954
Peinture à l’oeuf sur papier marouflé Huile sur papier
40X31 cm 100X65 cm
23 Peinture à l’oeuf, 1950 34 Composition, 1955
sur bois Huile sur toile
31X17 cm 41 X27 cm
24 Peinture à l’oeuf, 1950 35 Noir et rouge, 1955
sur toile Huile sur toile
41 X27 cm 34 X46,5 cm
36 Composition 262, 1955 45 Composition violette, 1959
Huile sur toile Huile sur papier marouflé
46 X38 cm 65 X50 cm
37 Vert et noir, 1955 46 L’Orage est passé, 1960
Huile sur papier marouflé Huile sur toile
60 X100 cm 81X100 cm
38 Voyage au bout de la nuit, 1955 47 Crépuscule, 1960
Huile sur toile Huile sur toile
77X114 em. ; 116X81 cm
Collection particulière, Paris
39 4 Saisons, 386, 1957 48 Pierres blanches, 1961
Huile sur papier marouflé Huile sur toile
41X57 cm 73X92 cm
40 Equinoxe d’hiver, 1957 49 Vert, 1961
Huile sur toile Huile sur toile
162X130 cm 73X60 cm
41 4 Saisons 374, 1957 50 Brumaire, 1961
Huile sur papier Huile sur toile
40 X30 cm 65 X81 cm
42 rs ét violer 1957 51 Hommage à Vermeer de Delft, 1962
73% 6 à tonte Huile sur toile
cm
33 X55
Musée d’Histoire et d’Art, Luxembourg a
43 Paysage gris, 1959 52 Agonie des feuilles, 1962
Huile sur toile Huile sur toile
24 X41 em 113X76 cm
14 Ocre et bleu, 1959 53 Forêt rouge, 1962
Huile sur toile Huile sur toile
33 X46 cm 33X46 cm
43
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Le
80 Silence de l’aube. 1964
öU Silence de l’aube, 1764
JOURNAL 63 14 juillet 1963
Huile sur bois
27X46 cm
54 6 mai 1962
Huile sur bois 64 26 juillet 1963
27 X35 cm Huile sur bois
37 X23,5 cm
55 29 octobre 1962
Huile sur bois 65 1” septembre 1963
18,77 X59,5 cm Huile sur bois
19,5X37,5 cm
56 novembre 1962 66 3 septembre 1963
uile sur bois { ;
19635 cm Huile sur bois
) 26,5X 24 cm
57 6 décembre 1962
Huile sur bois 67 6 septembre 1963
27X35 em Huile sur bois
38,5 25 cm
58 2 janvier 1963
Huile sur papier de verre 68 8 novembre 1963
17X28 cm Huile sur bois
37 X22 «cm
59 9 janvier 1963 69 12 novembre 1963
Huile sur bois Huile sur bois
22,5X26,5 cm 28 X23 em
60 2 mars 1963 70 23 novembre 1963
Huile sur bois Huile sur bois
37 X20 cm 35 X 24 cm
61 4 mars 1963 71 4 décembre 1963
Huile sur bois Huile sur bois
27X35 em 32X35 cm
62 6 mai 1963 72 6 décembre 1963
Huile sur bois Huile sur bois
29,5 X 19,5 cm 27X35 cm
73 3 janvier 1964 80 Silence de l’aube, 1964
Huile sur bois Huile sur toile
46 X29 cm 92X73 cm
74 30 février 1964 81 Silence du crépuscule, 1964
Huile sur bois Huil à
345 cm uile sur toile
32 X 34, 100X81 cm
75 28 mars 1964
Huile sur bois TENTURES
32 X24 cm
82 Clair de lune, 1946
76 6 avril 1964 Tenture (étoffes cousues et brodées)
Huile sur bois 221X132 cm
35 X32 cm
83 Le petit cheval, 1946
77 Matin d'hiver, 1964 lenture (étoftes cousues et brodées)
il toile qe cn [
EN à em Mobilier National, Paris
78 Matin d’été, 1964 GRAVURES
Huile sur toile
65X50 cm 84 Cantique à notre frère Soleil
de François d’Assise, 1954
79 Couchant, 1964 11 bois gravés en couleurs,
Huile sur toile imprimés en taille douce
60X73 cm et tirés en presse à bras par Marcel Fiorini
Imprimerie Saint-Paul, Luxembourg